[Légende] Juana Calfunoa est à la tête d’un la communauté Mapuche au Chili. Crédit image : Danny Pavitt / [caption]

[vedette] La communauté Mapuche voient leur milieu naturel comme la force de leur vie, celle qui est diminuée avec chaque barrage construit et la route pavée à travers elle, [/standout] Juana Calfunao, chef Mapuche, connu localement comme un Lonko, a perdu le compte de la façon dont plusieurs fois les carabinierset la police chilienne, ont pris d’assaut dans sa résidence de Chili du Sud. Dans son blog, elle documente le raid plus récent. À 02:00 carabiniers bouleversée sa petite maison à la recherche d’un membre de la famille. Choquant qu’ils sont, ces événements sont malheureusement devenus monnaie courante pour Juana et sa famille. En tant que membre franc de la communauté indigène Mapuche, Juana encapsule tous que veut dire être Mapuche au Chili aujourd'hui.

La communauté Mapuche est l’un des rares qui ont résisté à l’invasion espagnole début à mi-chemin du XVIe siècle. Ils sont sont habitués à la confrontation. Pendant des décennies, les groupes Mapuches dans la région de La Araucania ont été peintes d’un seul coup contradictoire. Efforts du gouvernement subséquent pour améliorer les relations avec des groupes comme les Mapuches ont été au mieux sans enthousiasme.

Aujourd'hui, le gouvernement chilien a clairement que ses priorités s’articulent autour des gains économiques à travers le développement et l’exploitation de la force de la nature pour alimenter ses centres urbains et au-delà. La communauté Mapuche, voir d’autre part, leur milieu naturel comme leur force vitale, qui est diminuée avec chaque barrage construit et pavé par le biais de leur région.

Il faut pas s’étonner, alors, que lorsque le gouvernement chilien annonce un projet d’ouvrir une route qui va directement à l’aide de propriété de Juana pour accroître l’accès à un barrage hydroélectrique dans la région, ces efforts sont heurtent à la résistance.

[vedette] Le gouvernement a été vocal sur son intolérance sévère à des manifestations. Mais il peut y avoir un tournant sur l’horizon [/standout] le gouvernement a été loquaces sur son intolérance sévère à des manifestations qui leur interdisent de « faire leur travail », à l’aide de l’archaïque et violer les droits de l’homme les lois antiterroristes pour valider les actions Mapuche comme tel. Mais y a-t-il un tournant à l’horizon ?

La distance physique entre les communautés Mapuches et les gratte-ciels de Santiago a fait facile d’ignorer les atrocités des Mapuches et autres groupes ont été exposés au fil des ans. Toutefois, l’action urgente s’impose pour atténuer les impacts du changement climatique mondial est du vaste fossé d’inquiétude et de compréhension entre valeurs Mapuche et gouvernement. Le changement climatique, comme un problème urgent qui nécessite une action immédiate, a été porté à la porte des bureaux de la ville, grâce à la pression du niveau local et des communautés internationales dans les mouvements et les accords officiels comme ceux conclu à Paris l’année dernière.

Le temps peut être aux responsables du gouvernement à écouter la voix collective des Mapuche et adopter leur approche en devenant plus en adéquation avec les efforts de protection de l’environnement : leur survie et la survie de leurs enfants s’appuient sur elle.

Bien que les raisons de l’augmentation des préoccupations environnementales gouvernementale ne peuvent pas reposer sur la création de paix entre ces deux groupes, il y a une occasion exceptionnelle pour ce faire, qui peut être initialement périphérique, mais a le potentiel pour démarrer un nouveau processus de consolidation de la paix dans la région.

[vedette] Le moment est venu pour le gouvernement chilien à reconnaître des solutions de rechange au sujet de la paix et l’environnement [/standout] le gouvernement pourrait prendre un rôle plus actif dans le Conseil des dirigeants Mapuches sur les meilleurs moyens d’envisager le développement dans les zones « partagées ». En tirant parti des connaissances Mapuche concernant la gestion des ressources naturelles et considérant les impacts environnementaux plus de projets de développement proposés, le gouvernement a établi une nouvelle norme pour la communication qui favorise une paix durable entre les groupes.

En utilisant la nature comme un véhicule pour construire la paix entre ces groupes, il semble espérer des résultats qui serviraient à aligner le gouvernement chilien avantageusement avec les règlements environnementaux et axée sur les droits de l’homme internationaux (par exemple, UNDRIP), améliorer leurs relations avec la communauté Mapuche et montrent une tentative plus robuste pour répondre durablement aux besoins de santé de notre planète.

Un leadership novateur du gouvernement chilien est crucial pour l’intégration des connaissances locales et traditionnelles dans les politiques qui déterminent comment le développement se produit dans les frontières politiques du pays. Les pressions du changement climatique ont et continueront à faire face le gouvernement chilien, et son leadership interne permettra de déterminer si oui ou non ils saisissent l’occasion de créer quelque chose de nouveau avec la communauté Mapuche dans leurs efforts pour s’adapter et à atténuer ces effets.

Le moment est venu pour le gouvernement chilien à reconnaître d’autres façons de penser au sujet de la paix et l’environnement. Ce changement est probablement va pour venir les préoccupations urgentes et les craintes pour l’avenir que le changement climatique présente à ces fonctionnaires et l’héritage qu’ils cherchent à laisser derrière. Si un processus de paix est déclenché entre les Mapuches et le gouvernement chilien en raison des efforts communs pour répondre aux appels pour la lutte aux changements climatiques, il serait « matar dos Pajaros de un tiro, » comme les Chiliens disent ou tuer deux oiseaux avec une pierre.