[Légende id = « attachment_56148 » align = « aligncenter » width = « 580 »] A mural from Colombia in 1985 calls for peace. 31 years later, is this now a reality? Image credit: The Real Estreya Une peinture murale de la Colombie en 1985 appelle à la paix. 31 ans plus tard, c’est désormais une réalité ? Crédit image : The Real Estreya/ [caption]

[vedette] Ces accords historiques sont le résultat de progrès dans le processus de paix actuel [/standout] après plus de cinq décennies de combats, les récents accords en Colombie sur un cessez-le-feu, la remise des armes, des garanties contre les menaces par les opposants armés au processus de paix et l’acceptation d’un référendum pour valider les accords, indiquent que le groupe armé FARC et le gouvernement colombien commencent leur transition vers la confrontation non violente.

Ces accords historiques sont le résultat de progrès dans le processus de paix. Au cours des deux dernières années, plusieurs initiatives en faveur d’une désescalade du conflit en Colombie ont été prises par les FARC et le gouvernement colombien.

Le processus de négociation a produit une série d’accords sur des sujets comme la terre, de victimes, de participation politique, de médicaments et de démobilisation, de désarmement et de réinsertion. Les accords signés au cours des derniers jours devraient être considérés comme le résultat d’une série d’initiatives visant à consolider la confiance entre les parties à la négociation. Il y a pas erreur qui au cours des dix derniers mois ont été la période de temps avec l' intensité la plus faible dans la violence pendant le conflit entier.

En outre, les accords comportent des dispositions pour s’assurer que les combattants des FARC vont déposer les armes dans les 180 jours de la signature de l’accord de paix définitif. Cet accord souligne la création de 23 zones sur le territoire colombien où cadres FARC vont se re-groupent démarrer le processus de démobilisation, la remise des armes et leur réinsertion dans la société colombienne. Ce processus de désarmement et cesser le feu seront contrôlé par l’ONU, la communauté d’Amérique latine et les Caraïbes États (CELAC), membres des forces armées colombiennes et FARC eux-mêmes.

Le début de la fin ?

[vedette] Consolidation de la paix doivent envisager la paix comme quelque chose de plus que le désarmement des rebelles [/standout] malgré l’important se déplace vers la paix, il serait prématuré de prétendre que guerre est finie. Tout d’abord, les combats en Colombie ne sont pas limitée aux FARC. Autres guérilleros comme l’ELN et l’EPL, les forces paramilitaires, les cartels et les groupes de trafiquants de drogue sont également des contributions significatives à cette violence.

Deuxièmement, alors que les accords ont été signés qu’ils sont encore à mettre en œuvre. À l’heure actuelle, que les accords sont la promesse de l’endroit où le pays veut se rendre. Il faudra des années de dur labeur pour arriver à un état de paix.

Troisièmement, les efforts de consolidation de la paix doivent envisager la paix comme quelque chose de plus que le désarmement des rebelles, ou rebelles hors uniformes. L’existence des rebelles et des groupes armés qui remplacent l’État et prétendent être le souverain dans différentes parties de la Colombie est un symptôme de quelque chose de plus : la participation, la légitimité et la consolidation de l’État colombien.

Enfin, l’expérience internationale montre que la violence augmente après que des accords sont signés, de déflecteurs ou opposants au processus. Les forces paramilitaires et les trafiquants de drogue sont préparent leur réponse aux accords et la possibilité de la paix. Ceux qui ont fait des millions de dollars par le biais de la violence ne permettra pas les accords de compromettre leurs profits et ils peuvent recourir à ce qu’ils savent faire de mieux : la violence et la peur.

La bataille pour la paix

[vedette] Maintenant, les accords ont été signés, de soutenir et de s’opposer aux réalisations des campagnes commencera. C’est où les mensonges de vraie bataille [/standout], ce qui pourrait expliquer en partie pourquoi certains colombiens ne sont pas accueillant des membres des FARC dans la politique. C’est le résultat d’une société qui a subi des violences pendant plus de cinq décennies (pas seulement à partir des FARC), avec des initiatives de paix réussie, mais aussi plusieurs tentatives infructueuses.

Rétablir la confiance entre les Colombiens et les organisations telles que les FARC s’est avérée difficile, surtout compte tenu du fait que les FARC est une organisation très impopulaire en Colombie – mais pas pour tous les Colombiens.

En outre, le scepticisme des Colombiens est informé par le résultat le plus récent du processus de paix avec les paramilitaires (entre 2003 et 2006) qui a vu la démobilisation d’un groupe, mais finalement conduit simplement au rebranding d’un vieil acteur (maintenant paramilitaires sont appelées bandes criminelles - BACRIM). Leur présence dans les provinces et leur terrorisant des civils sont restés intacts dans plusieurs régions du pays.

Gouvernement et institutions présentent les accords comme une occasion de reconstruire le pays. En revanche, les opposants au processus de paix sont affirmant le caractère abusif des acteurs armés y compris dans l’espace politique, la nécessité des membres des FARC purger les peines de prisonet exprimant la crainte du communisme reprenant en Colombie. Il s’agit d’une importance vitale que ces accords et d’autres ont atteint à la Havane seront validées par un plébiscite. Pour ce référendum soit valide, au moins 13 pour cent des électeurs inscrits devrait soutenir cette initiative (4,4 millions d’électeurs). Le risque réside dans l’éventualité qu’un accord est signé, mais est rejeté par les Colombiens. Comme l’a mentionné le Président de la Colombie, cela pourrait signifier remontant à la guerre.

Maintenant, les accords ont été signés, de soutenir et de s’opposer aux réalisations des campagnes commencera. C’est là que réside la vraie bataille pour la paix. Le processus de paix en Colombie est peu susceptible de réussir si elle n’est pas détenue et défendu par les Colombiens. Sans ce soutien, les accords seront un simple morceau de papier, dépourvue de tout pouvoir symbolique, réconciliation ou fondamental pour l’avenir de la Colombie. Il est temps pour tout le monde en Colombie pour tenter d’aller au-delà de l’héritage du conflit et pour commencer à travailler pour la paix.