[Légende id = « attachment_41732 » align = « aligncenter » width = « 580 »] A market in Burkina Faso Crédit image : Carsten ten Brink[/ caption]

[vedette] Ce qui différencie vie publique du Burkina Faso après que l’indépendance était la richesse de sa société civile. [/standout] La nation d’Afrique de l’ouest du Burkina Faso a connu une stabilité relative depuis l’indépendance de la France en 1960. À l’instar des autres pays africains jeunes, Burkina a évolué sur le plan politique, de la démocratie multipartite au régime militaire et vers à nouveau plusieurs fois au cours d’un demi-siècle.  Ce qui différencie vie publique du Burkina Faso après que l’indépendance était la richesse de sa société civile.  Quel que soit le régime en place, partis politiques d’opposition, la presse et une série d’organisations actives portant sur les jeunes, la profession juridique, les femmes, les droits de l’homme, agriculteurs et les syndicats ont maintenu une présence animée tout au long.

Sankara et le coup d’état de 1983

Changement le plus important du pays en matière de gouvernance ont eu lieu en 1983, quand un groupe de jeunes officiers de l’armée a pris le pouvoir, en épousant une doctrine révolutionnaire.  En effet, ils ont affirmé qu’ils voulaient débarrasser le pays de la corruption et installer un gouvernement progressiste, modern et propre.  Ils ont changé le nom colonial du pays, la Haute-Volta, au Burkina Faso, signifiant « la terre du peuple fier et honnête. »

L’auteur du coup d’Etat de 1983 était le capitaine Thomas Sankara, un leader charismatique qui a électrifié les populations de plusieurs pays voisins parlant Français ainsi que ses propres. Il s’est rendu dans la région de prêcher la révolution. Je me souviens faisant l’éloge du dirigeant libyen Muammar Gadhafi et autres révolutionnaires internationales visitant la capitale Ouagadougou en 1987 et en voyant des bannières. Inutile de dire, comportement de Sankara a effrayé les autres chefs d’État qui cherchaient à isoler lui.

Burkina Faso sous Campaoré

À la fin de 1987, Sankara Vice Président capitaine Blaise Campaoré a organisé un coup d’Etat qui a renversé et assassiné son patron. Campaoré a fait valoir que révolutionnaire de Sankara prédication était à l’origine le pays à devenir isolé en Afrique de l’Ouest.  Campaoré a repris, restant en tant que président pendant les 27 ans jusqu’au 31 octobre 2014. Régime de Campaoré était considéré comme « semi autoritaires » car il a permis une presse relativement libre et groupements politiques d’opposition, mais arrangé les choses pour qu’il ne pourrait pas être défait en élections présidentielles régulières. Les candidats adverses potentiels ont été intimidés à retirer.

Grosse erreur de Campaoré était sa tendance à se concentrer sur la manipulation des événements dans les pays voisins, plutôt que sur le bien-être économique de son peuple. Entre 1990 et 1997, Campaoré a fourni le soutien principal pour l’insurrection de Charles Taylor au Liberia qui a abouti à une catastrophe humanitaire majeure dans ce pays.  De 1999 à 2011, Campaoré a soutenu une rébellion majeure et la guerre civile dans voisins ivoirien qui a renversé le régime du Président Laurent Gbagbo et installé l’actuel Président, Alassane Ouattara.

Tout en se concentrant sur les gouvernements voisins déstabilisatrices, Campaoré a négligé son propre peuple, qui a ne fait aucun progrès dans le développement économique. En effet, les maigres ressources qui devraient avoir été utilisés en interne ont été détournés vers ses aventures extérieures. En 2010, il était devenu très impopulaire.  Une nouvelle constitution avait été adoptée en 2005, ce qui limitait le Président à deux mandats. Cela a fourni espoir qu’il ne serait pas au pouvoir indéfiniment.

Face à la fin de son deuxième mandat en 2015, Campaoré a décidé de demander à que son approuver sans discussion à l’Assemblée nationale en vue de modifier la constitution pour lui permettre d’exécuter à nouveau. Ne pas pour ce faire, il a été averti par les anciens des tribus et des chefs religieux qui avaient le pouls de la population. En septembre 2014, il y avait de petites manifestations publiques contre la possibilité d’un changement de la constitution.  Néanmoins, le 31 octobre 2014, la proposition visant à modifier la constitution a été officiellement présentée à l’Assemblée nationale.  Cette action a déclenché des manifestations spontanées dans toutes les grandes villes, y compris la capitale Ouagadougou où les cent mille personnes sont venues dans les rues.  Ils sont allés à l’hôtel du Parlement où l’amendement constitutionnel a été débattu et mettre le feu.  Le Président a réussi à s’échapper dans un hélicoptère militaire Français, ville voisine de Côte d’Ivoire.

Le rôle de la société civile dans la prévention de la violence

[vedette] Ce qui a été plus important sur les événements du 31 octobre a été l’absence de violence majeure à l’exception de l’incendie de l’hôtel du Parlement. [/standout] Ce qui a été plus important sur les événements du 31 octobre a été l’absence de violence majeure à l’exception de l’incendie de l’hôtel du Parlement.  Les militaires, en particulier l’élite garde présidentielle, n’a pas utilisé la violence contre les manifestants.  Ce n’était pas un accident.

Dès qu’il est devenu clair que l’ensemble des citoyens, en particulier l’évolution démographique âgés de moins de 30, étaient déterminés à forcer le Président à faire respecter la limite de deux mandats, la société civile mobilisés pour parer de confrontation. La Ligue de jeunesse du Burkina Faso était particulièrement efficace pour travailler avec la hiérarchie militaire pour empêcher l’utilisation de la force contre les manifestants, et l’ordre des avocats du Burkina, médiation entre l’armée, les partis politiques d’opposition et les anciens des tribus de trouver une disposition gouvernementale transitoire qui a distingué, apolitiques Burkina citoyens à diriger le gouvernement par un refroidissement hors période et une nouvelle élection.

L’expérience du Burkina Faso de la gestion de conflit interne sert d’exemple aux autres pays de l’importance et la valeur d’une société civile dynamique, quelle que soit la nature du régime. Il est regrettable que la Libéria ni en Côte d’Ivoire ont été capables de résister à des activités de déstabilisation de Campaoré de la même manière.