[Légende id = « attachment_53792 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Image credit: Fundación Mi Sangre Fundación Mi Sangre travaille avec les jeunes qui ont grandi au milieu du conflit armé colombien. Crédit image : Fundación Mi Sangre. / [caption]

[vedette] Le plus long conflit interne en cours d’exécution du monde est entre dans sa phase finale [/standout] le plus long conflit interne en cours d’exécution du monde est entre dans sa phase finale, comme le gouvernement colombien et l’insurrection plus puissante de l’Amérique latine, FARC, bord vers un accord de paix historique. Mais au moins 85 % de la population colombienne n’ont jamais connu ce que c’est comme vivre en paix et beaucoup de Colombiens ont du mal à imaginer comment les choses évolueront sans la présence d’un conflit armé.

Certains marquent le début du conflit colombien avec l’assassinat en 1948 du candidat populiste radical Jorge Elicer Gaitan. Cela a incité des décennies de massacres entre deux partis politiques de la Colombie, les libéraux et les conservateurs. La violence, puis a évolué en groupes de la guérilla gauchiste comme les FARC, l’ELN, l’EPL et le M19, qui fait la guerre au nom de doctrines qui avait dénoncé la pauvreté, manque d’éducation et d’accès à la terre des zones rurales et urbaines de la Colombie a connu depuis longtemps.

Ces insurrections de la guérilla a déclenché une contre-insurrection paramilitaires. Et mélangé dans toute cette violence a été la montée de la criminalité organisée, qui détient encore une emprise sur le pays aussi fort que n’importe quel groupe d’insurgés.

Un héritage de promesses non tenues

Maintenant, plus de six décennies sur de l’assassinat de Gaitan, on estime que 14 % de la population est victime directe du conflit armé, et que la majeure partie de la population a été indirectement victimes. C’est dans ce contexte que le gouvernement colombien a commencé des pourparlers de paix avec les FARC en 2012.

Mais avec dix pourparlers de paix a échoué avec divers groupes armés derrière elle et avec des résultats discutables à montrer pour les accords de paix qui ont été menées à bien, il n’est pas étonnant que de nombreux Colombiens ne croient pas qu’un accord pourra être trouvé. Sondages d’opinion ont été régulièrement bas depuis le début des pourparlers de paix, avec en moyenne entre seulement 32 et 42 % de la population en disant qu’ils pensent des pourparlers sera couronnée de succès. Entre 40 et 50 % disent qu’ils prendraient part aux mécanismes participatifs, tels que l’organisation d’un référendum, mis en place autour de l’accord de paix.

Ces chiffres illustrent le fait que moyennes colombiens se sont distanciés du processus de paix. Basé sur la conviction que les négociations ont été une forme de bataille politique entre factions politiques rivales, ils préfèrent ne pas à être impliqué. Cette réaction a été si forte que même le mot « paix » a se politiser ; Il est devenu synonyme avec le soutien d’un ou l’autre des grands mouvements politiques.

L’histoire récente : la vraie affaire ?

[vedette] Beaucoup de Colombiens commencent à se demander ce que la vie va être comme sans la menace de la violence [/standout] Cependant, en septembre 2015, les pourparlers atteint un tournant décisif lorsque les FARC et le gouvernement a déclaré qu’en mars 2016 un accord définitif serait signé, et que 60 jours plus tard de FARC aurait ont démobilisés. Avec une fin en vue, pour la première fois nombreux Colombiens commencent maintenant à se demander : quelle sera la vie comme si cette menace n’existe pas ? Pour la plupart, la réponse est difficile à trouver.

À la Fundación Mi Sangre (FMS), une ONG colombienne travaillant pour transformer les enfants et les jeunes agents de changement dans la construction de la paix, nous avons longtemps observé l’importance de cette question et il adressée par le biais de notre méthodologie de l’éducation à la paix. Pour FMS, le conflit a bloqué enfants et capacité d’imaginer et de rêver le potentiel qui maintiennent leur vie. Violence multi-générationnelle a limité les possibilités des Colombiens pour aussi longtemps que certains ont cessé de rêver d’un moment où leur pays sera en paix.

Cela peut entraîner chez les enfants et les jeunes personnes choisissant un chemin de l’illégalité, alimentant plutôt que de travailler pour mettre fin au cycle de violence.

Pour cette raison, une étape clé pour instaurer une paix durable en Colombie sera un changement culturel dans lequel les gens réaménagement leurs identités en tant qu’individus et en tant que société en paix. Rêver et imaginer tenir une grande puissance pour débloquer des transformations sociales de changement à long terme.

Mesures pratiques pour concrétiser le rêve de paix

Pour nous, le processus de réactivation de la capacité de rêver commence par renforcement des compétences de vie chez les enfants et les jeunes personnes. Pour ce faire, nous utilisons une méthodologie basée sur l’art et le jeu, pas comme une fin mais comme un moyen pour la consolidation de la paix. Des outils comme ça éveillent l’imagination et stimulent la puissance créatrice chez les enfants et les jeunes, leur permettant d’explorer des réalités différentes et de développer leur propre compréhension du monde.

Une fois que la capacité à rêver de la paix et l’occasion est réveillée, FMS prend en charge les jeunes effectuant des initiatives entrepreneuriales à régler les problèmes sociaux dans leurs communautés. Jeunes sont constamment dit il n’y a pas les ressources et que le changement est impossible, mais ces petits gestes contrer cela, en leur montrant que par leur propre ingéniosité et la créativité même les petits changements peuvent constituer un premier pas à faire une différence.

Si la prochaine génération de Colombie de jeunes leaders ne croit pas que la paix est possible au niveau individuel ou social – si le conflit a étouffé l’occasion pour si long que lorsqu’on lui demande qui ils seront dans un pays en paix, n’existe pas de réponse – le cycle de la violence se poursuivra si un accord de paix avec les FARC est signé ou non.

C’est pour cette raison, que nous continuerons à une décennie d’utiliser l’éducation pour la paix comme un outil pour les enfants et les jeunes à découvrir leur citoyenneté et croient en leurs capacités à changer positivement la société.