[Légende id = « attachment_1425 » align = « aligncenter » width = « 580 »]  Israeli / Jordanian flags on the wooden bridge over the Yarmouk River (a tributary of the Jordan River) mark the entrance onto the Peace Island. Photo credit: EcoPeace / FoEME Drapeaux israéliens / jordaniens sur le bois pont au-dessus de la marque de Yarmouk (un affluent du Jourdain) l’entrée sur l’île de la paix. Crédit photo : EcoPeace / atmo / [caption]

Dans les années qui ont suivi sa création en 1994, EcoPeace/amis de la terre Middle East (FoEME) promouvoir des relations de coopération entre Israéliens, jordaniens, et les Palestiniens sur les questions se rapportant à la région partagent des ressources et du patrimoine. Il s’agissait de fois optimistes du processus de paix, quand et la fin du sanglant conflit israélo-arabe semblaient proche.

Mais le tournant du millénaire nous voyait entrer dans une période de grands troubles et d’incertitude. En 1998, la conviction que la paix au Moyen-Orient est en effet à proximité avait disparu face à l’échec des Accords d’Oslo pour résister aux attentes des peuples. Étant une organisation régionale dans une région où le processus de paix est venu à signifier une violence accrue et la préservation du statu quo – terme devenait plus difficile que jamais.

Afin de rester pertinent EcoPeace/FoEME, une organisation de défense de haut en bas lors de sa création, a décidé de compléter cette méthode classique de travail avec une approche bottom-up de l’activisme communautaire conduit qui met l’accent sur les activités de coopération, confiance et dialogue sur Croix frontière des ressources naturelles, partagée notamment eaux. Malgré le déclenchement de la seconde Intifada en 2001, nous avons réussi à convaincre les bailleurs de fonds que des relations de coopération entre les communautés d’israéliens, Palestiniens et jordaniens, étaient possibles, et projet de « Bonne eau Neighbors » (GWN) de l’organisation a été lancée au début de cette année, au départ impliquant 11 collectivités - cinq israéliens, cinq Palestiniens et un jordanien.

Le projet a été conçu pour mieux faire connaître les problèmes de l’eau partagée de ces communautés, à éduquer les jeunes et à exploiter les résidents adultes et les employés municipaux à la tâche de changer la réalité sur le terrain. Basé sur l’identification des communautés transfrontalières et utilisant leur dépendance mutuelle sur les ressources en eau partagées comme une base pour le développement de dialogue et de coopération sur la gestion durable de l’eau, le projet aujourd'hui comprend 28 communautés (11 palestiniens, neuf israéliens et jordaniens huit), qui partagent le Jourdain, la mer morte, la montagne et les aquifères côtiers et divers flux transfrontaliers.

De régler les questions de l’assainissement et la conservation le projet GWN constitue ainsi le fondement de nos efforts faire avancer la réhabilitation de ces ressources naturelles en déclin. Un autre objectif majeur est d’aider ces collectivités à développer le potentiel social et économique qui tiennent de la réhabilitation de ces eaux partagées, avec un fort accent sur les possibilités pour le tourisme.

[Légende id = « attachment_1426 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Israelis, Jordanians and Palestinians participate in a ‘Big Jump’ event in the Lower Jordan River, in a joint call to the region's governments to rehabilitate the River, 2010. Photo credit: EcoPeace / FoEME Israéliens, jordaniens et Palestiniens de participer à un événement de « Big Jump » dans le bas Jourdain, dans un appel commun aux gouvernements de la région à réhabiliter la rivière, 2010. Crédit photo : EcoPeace / atmo / [caption]

Notre personnel sur le terrain (nous avons un dans chacune des communautés GWN) nous aide à identifier les initiatives prioritaires pour chaque paire ou groupe de traverser les localités frontalières. Afin de maintenir notre attention sur la coopération transfrontalière et de consolidation de la paix, nous nous limitons aux initiatives qui soit supposent la coopération effective entre les communautés voisines pour résoudre un problème, ou la promotion de solutions dans une communauté qui aurait un impact transfrontière significatif – c'est-à-dire, permettrait d’améliorer le bien-être de la collectivité voisine.

En raison du manque d’infrastructures d’assainissement dans de vastes zones de la Cisjordanie, par exemple, les eaux usées non traitée et des eaux d’égout brute, domestique et industriel, écoulement dans les cours d’eau qui sont originaires de Cisjordanie et franchir la ligne verte en Israël, contaminant sur son chemin non seulement les flux eux-mêmes, mais la nappe phréatique ainsi. Et depuis ces cours d’eau et l’aquifère de montagne en dessous d’eux, n’ont aucun respect pour les frontières artificielles politiques et franchir la ligne verte toujours tellement indifféremment : cette pollution dangereuse risque la santé des Palestiniens et des Israéliens.

Promouvoir des projets d’assainissement en Palestine, en collaboration avec les intervenants palestiniens et israéliens (l’autorité palestinienne de l’eau et l’Administration civile israélienne par exemple), ainsi qu’avec les pays donateurs et les agences, est donc un objectif majeur de notre travail dans la région.

Sans surprise, cependant, il n’est pas si facile de convaincre les « ennemis » de coopérer. Nous avons appris que succès à créer la coopération transfrontalière au milieu d’une zone de conflit dans une large mesure dépend de la capacité de l’organisation de convaincre les décideurs locaux respectifs et le public que cette coopération, notamment lorsque se rapportant aux ressources partagées , est dans leur propre intérêt. Il sonne juste, mais, lorsqu’il s’agit de tant d’hostilité et de préjugés, il est difficile de reconnaître qu’en coopérant je ne ferai une faveur de mon ennemi, mais de moi-même.

Nous avons été en mesure de jouer le rôle de facilitateur et de médiateur et ainsi favoriser une meilleure compréhension entre, par exemple, les maires et les chefs des conseils régionaux dans les communautés israéliennes, palestiniennes et jordaniennes, le long de la basse vallée du Jourdain. Les différentes parties s’est rendu compte de l’impact grave sur leurs communautés santé et bienêtre économique causé par la disparition de bas Jourdain - une fois la Jordanie Mighty, maintenant un filet des eaux usées. Du point de vue palestiniens, la principale question en litige était le refus d’accès à la rivière et le potentiel économique de la rivière. Les parties a donc convenaient de : Loi d’enlever des eaux usées de la rivière autant que possible ; promouvoir le développement économique et touristique de la vallée, et ; créer et promouvoir des pressions publiques sur les décideurs nationaux afin de rendre la réhabilitation de la rivière une priorité.

[Légende id = « attachment_1427 » align = « alignright » width = « 280 »] Map of the planned Peace Park, on the border between Jordan and Israel. Photo credit: EcoPeace / FoEME Carte du parc de la paix prévues, à la frontière entre la Jordanie et Israël. Crédit photo : EcoPeace / atmo / [caption]

Une autre coentreprise et très complexe à celle, est le parc Jourdain de la paix dans la région de l’île de paix existant dans Naharayim, à la frontière entre Israël et la Jordanie. En 2007 les maires du GWN israélien et jordaniennes communautés ont signé un protocole d’entente pour créer le parc de la paix. Les efforts subséquents ont inclus la sensibilisation aux communautés concernées, les décideurs et les professionnels aussi bien en Israël et en Jordanie.

En 2008, les plans du parc ont été élaborées lors d’un atelier de design international professionnels locaux en partenariat avec les architectes et les planificateurs de l’Université Yale aux États-Unis. Une étude préliminaire de faisabilité a été réalisée en donnant une meilleure compréhension des coûts et des revenus potentiels du site. Du côté jordanien, des efforts de sensibilisation et dialogue réguliers entre FoEME jordanien du personnel et des responsables militaires et politiques ont surtout portés sur la déclaration de la zone jordanienne comme un parc national.

Ces efforts ont porté maintenant leurs fruits au niveau plus élevé : plus récemment, l’armée jordanienne a approuvé pour FoEME de réhabilitation de l’ancienne gare de train sur l’île de la paix. Mentions de fonctionnaires israéliens, y compris le Président Peres et les ministères du tourisme et la coopération régionale ont abouti à des engagements de nouveaux Shekels israéliens de 1,8 millions (USD 500000) à investir davantage dans la partie israélienne du parc de la paix proposée.

Nous avons encore un long chemin à parcourir, avec le projet de parc de la paix, ainsi qu’avec les nombreuses autres initiatives GWN. Intervenants dans tous les cas sont nombreux et présentent souvent des ordres contradictoires, avec des sensibilités politiques, ce qui nécessite de la pensée créatrice. La nécessité de faire face à des accusations - réalisées à atmo et communautés du projet et les dirigeants locaux - de tous les segments de l’échiquier politique dans chaque pays est frustrante. Pourtant, le rôle de la société civile dans toutes les régions conflictuelles - passé et présent - est pas moins important que la politique suivi et peut souvent faciliter les décisions politiques et percées aux niveaux locales, nationales et internationales.

Grâce au projet GWN que nous apprenons nouveau chaque jour juste comment habiliter la société civile peut être pour la circonscription dépendante des dirigeants politiques les et nationaux et comment fructueuse grassroots consolidation de la paix peut être pour un futur accord politique final - que nous aspirons à. Comme tant d’autres au Moyen-Orient.

Cet article a été également publié sur le blog première locale. Local est tout d’abord une approche de développement international qui privilégie les vues et le leadership des personnes et des organisations dans les pays touchés, sur ceux de l’extérieur de la communauté internationale.