Farhat Akram travaille pour IPRI, un groupe de réflexion basé au Pakistan. Elle dit que les think tanks ont une contribution importante à apporter à la consolidation de la paix au Pakistan, en favorisant la recherche et dialogue sur les questions liées à la politique. « Think tanks au Pakistan ont une longue histoire de fournissant des évaluations et des commentaires sur les politiques qui sont mises en œuvre ou qui vont être mis en œuvre par les gouvernements titulaires. Le rôle pour le groupe de réflexion peut être moins directe et pas nécessairement celle de prendre des initiatives concrètes et pratiques "BOLD" ; Selon moi, est le rôle des ONG. Organisations non gouvernementales peuvent faciliter le processus une fois qu’il a été suggéré par un érudit des ces think tanks. Think tanks une puissance intellectuelle de formuler des stratégies pour les options de consolidation de la paix. Il y a nécessité d’une collaboration des deux côtés ; liens entre les think-tanks et les ONG ont souvent été soulignées et qu’ils coopèrent souvent pour soutenir mutuellement sur les études sur la paix ».

IPRI a une longue histoire de collaboration avec divers instituts et organisations de renommée internationale dont l’objectif est dans les études sur la paix et la collaboration est sur un niveau mutuellement bénéfique. Il undertaks de recherche, analyse et évaluation des « principaux enjeux politico-stratégique national et international et développements qui touchent le Pakistan, Asie du Sud et monde des affaires ». IPRI produisent un certain nombre de publications reconnues au niveau international, qui constituent une source majeure d’influence sur les décideurs. IPRI entretient plusieurs relations de travail avec les instituts qui travaillent pour la paix. Ce qui est un partenariat mondial pour la prévention des conflits armés (PHASE) et sa collaboration avec IPRI est, il y avait un atelier organisé le 1er septembre 2008 au Pakistan « Conflit sensible du journalisme ». À cet égard, Centre régional d’études de sécurité (RCSS) Sri Lanka a collaboré avec IPRI. D’autres projets avec ATTELER sont dans le pipeline.

IPRI organise divers séminaires sur des questions d’intérêt national et international. Ces sujets créent la prise de conscience et de sensibilisation à un niveau plus large. Par exemple, IPRI a jusqu'à présent organisé des conférences sur la résolution des conflits et de la coopération régionale en Asie du Sud en 2004 ; Les zones tribales du Pakistan : défis et réponses en 2005 ; La Violence politique et le terrorisme en Asie du Sud en 2006 ; Rôle politique des communautés religieuses au Pakistan en 2008 ; et « Balouchistan – rationalisation du Centre-Province relations » au début de 2010.

Par la plate-forme de la IPRI, Farhat a étudié et a présenté une communication sur « l’implication du système de la Jirga » et le rôle des organisations communautaires dans la reconstruction de l’Afghanistan à la Conférence sur « Indigénisation de Afghan Reconstruction : défis et opportunités », 18-19 mars 2009 à New Delhi. Elle a aussi organisé une conférence nationale de deux jours sur « Balouchistan – rationalisation du Centre-Province Relations », 13-14 avril 2010 à Islamabad. Les actes de la Conférence vont bientôt être publiées sous forme de livre.

Farhat est maintenant travailler comme volontaire avec Programme de soutien communautaire (PSA) et contribuer à CSP projette sur interconfessionnelle éducation harmonie et la paix à travers des ateliers, séminaire, formations et sessions interactives. Farhat Akram en partenariat avec son mari a lancé premier anglais-arabe du Pakistan bilingue magazine « Insight diplomatique The ». Elle prétend que le magazine agit comme un pont entre les cercles diplomatiques à se réunir sur une seule plate-forme. Ainsi, ce projet s’efforce de promouvoir la paix, harmonie interconfessionnelle, compréhension et coopération entre les personnes, groupes et nations dans un monde déchiré. Actuellement, elle est aussi affiliée avec Friedrich-Naumann-Stiftung für die Freiheit, comme un co-modérateur d’ateliers sur la gestion des conflits et des questions liées aux conflits. Sur le plan international, elle est affiliée avec sœurs contre Violent extrémisme (SAVE) au Pakistan, qui est une initiative du projet femmes sans frontières. Farhat Akram sûrement a une passion pour la paix et élargit ses connaissances dans ce domaine par un diplôme en cours dans les études sur la paix du Pakistan Institute futuriste, Islamabad.

Farhat Akram est Kashmiri et partagé les réflexions suivantes sur le différend du Cachemire à l’égard de sa passion pour la consolidation de la paix : « Kashmir arrive à ma patrie. Le nom de Cachemire est aujourd'hui synonyme de terreur, de guerre et de torture. La valeur et le coût de la paix ne peuvent être mieux réalisés par quiconque autre que la génération qui sont nés en terre de conflit où il est une denrée plutôt éteinte précieuse et rare. Les souvenirs d’enfance a enregistré dans mon esprit et gardé en résonance tout au long de ma jeunesse. Vraiment, j’ai vécu vers le haut avec un rêve de voir la paix au Cachemire. Une fois, tout en racontant les événements, mon père a dit que les conflits ne peut pas terminer en démarrant un nouveau conflit, mais par le biais de paix et de dialogue. À cette époque les mots juste gardés résonne dans mon esprit pour plusieurs années, mais je n’avais aucun moyen ou ressources à faire quelque chose de concret. C’était la raison majeure de commencer mon voyage vers la paix et de prendre des initiatives de consolidation de la paix concrets ».

Ainsi que des entrevues Farhat sur son travail, je lui ai demandé de présenter des observations sur notre propre site, un aperçu sur le conflit. Elle avait un gentil commentaire et suggestion : « la perspicacité sur projet de conflit est chemin initiative qui fournit des bâtisseurs de paix local une chance d’être globalisé et se rapprocher dans cette ère de connexions rapides et un accès facile à l’information. Il possède tous les atouts de connexion et d’informations. Je crois que ce projet doit renforcer sa portée en invitant plusieurs individus du Pakistan à partager leurs réflexions et expériences. Une chose dont je voudrais suggérer qu’il doit y avoir une section du site Web où si deux peacebuilders provenant de différentes régions du monde ont coordonné ou ont collaboré sur un projet de paix, alors ils peuvent exprimer leurs pensées et leurs expériences ». Nous prendre sa recommandation à bord et nous espérons à l’avenir être en mesure d’offrir ce service.

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