[Légende id = « attachment_30411 » align = « aligncenter » width = « 550 »] Zimbabwe Police La force de police, contrôlée par la Zanu-PF, intimider des partisans de partis politiques rivaux. Photo courtoisie de Sokwanele - Zimbabwe. / [caption]

La scène politique zimbabwéenne a toujours été dominée par une histoire de violence motivée politiquement, datant de retour plus loin que les élections présidentielles 2008 désastreuses qui a laissé des milliers de civils innocents pour morts. Les affrontements violents se situaient entre l’alors au pouvoir parti politique l’Union nationale africaine-Front patriotique (Zanu-PF), dirigé par Le Président Robert Mugabeet son grand rival, parti politique, Le mouvement pour le changement démocratique (MDC-T), dirigé par l’actuel premier ministre Morgan Tsvangirai. Avant l’élection présidentielle de 2008, Zimbabwe avait assisté à une foule de mortelle de violents affrontements entre ses combattants et de fermiers commerciaux blancs zimbabwéens au sujet de la reprise de possession illégale de terres.

Depuis 2000, initiative de reprise de possession des terres du Zimbabwe a vu des fermiers blancs avec force retirés de leurs fermes légalement détenues par le gouvernement zimbabwéen en guise de l’autonomisation de la majorité noire de Zimbabwéens sans terre.  Au lieu de cela, les fermes ont été orientées vers les ministres du gouvernement zimbabwéen influents et leurs relations immédiates. Efforts pour régler la question des terres d’une manière pacifique et amicale entre les fermiers commerciaux blancs zimbabwéens, avec l’aide du Comité de développement d’Afrique australe (SADC) et le gouvernement zimbabwéen, est tombé sur les oreilles sourdes comme le gouvernement Zanu - PF a continué de reprendre possession des fermes dans une violente et de style militaire qui a entraîné la mort de nombreux innocents.

Le gouvernement zimbabwéen plus tard allait mettre en oeuvre «Murambatsvina», ce qui signifie « contre toutes illégales squatters maisons », sur la majorité noire du Zimbabwe dans les villes urbaines telles que Harare et Bulawayo, Gweru, Kwekwe, grâce à des tactiques d’intimidation de la police. Toutefois, le sort de ces civils Zimbabwéens ordinaires a été médiatisé jamais, comme la police, à l’instigation de la Zanu - PF, eux-mêmes contraints des propriétés du peuple. Ces citoyens ont été ensuite battus sans pitié et contraints de détruire tous les abris existants qui étaient non approuvées par les conseils gouvernementaux locaux.

Avec 2013 élections présidentielles du Zimbabwe à venir, la violence a déjà commencé à prendre forme. Malgré qu’il y ait un gouvernement d’unité nationale, formé en 2009, l’intimidation des citoyens ordinaires par la police se produit souvent et empêche les citoyens de participer à des rassemblements politiques de partis politiques rivaux.

[vedette] L’intimidation des citoyens ordinaires par la police se produit souvent et empêche les citoyens de participer à des rassemblements politiques de partis politiques rivaux. [/standout] Apparemment, le comportement au niveau de l’État se reflète au niveau de la population civile, où l'on voit les mêmes tendances violentes présentés de nombreux jeunes Zimbabwéens vers l’autre.

Une anecdote démontrable et très publique de cette violence se trouvent encore sur la télévision grand public, tels que l’incident a été témoin sur la saison 7 de l’émission de téléréalité Big Brother Africa, qui s’est tenue l’an dernier 2012 en Afrique du Sud. L’altercation a impliqué deux représentants Zimbabwéens qui ont eu à coups suite à une série d’arguments à la grande surprise de leurs compagnons colocataires.

http://www.youtube.com/watch?v=x2W0QqGAQ7I

Au lieu de deux zimbabwéens, Christiane et Rocki, ralliant et soutenir les uns les autres, ils ont utilisé la plate-forme constamment argumenter et s’impliquer dans des explosions de violence la paire a montré des signes d’hostilité envers les uns les autres dès le premier jour du salon, bien qu’il soit là pour la même cause patriotique.

L’essence de la question ici est que, pour bien des jeunes Zimbabwéens, l’hostilité et la violence affichée par l’État a devenir enracinées au niveau du citoyen ; traduit par des échanges journaliers entre les gens. La violence que les concurrents du Zimbabwe Christiane et Rocki exposées semblent être des symptômes de cette violence de l’État, car si les enfants grandissent dans un environnement où les dirigeants politiques recourent à l’usage de la violence pour régler les conflits et les différends, il faut s’attendre que leurs pairs émulera ces tendances à la violence.

Si les dirigeants comme le Président Mugabe et d’autres de la même veine pourraient favoriser des notions pacifiques de règlement des conflits et des désaccords, même parfois quand leurs adversaires recourent à des tactiques violentes, il serait possible d’engendrer une paix piloté par génération qui peut prêcher par l’exemple et ouvre la voie pour les années à venir.