Pour explorer davantage l’importance de l’Institut des études régionales (IRS) en ce qui concerne la paix au Pakistan et en Asie du Sud, un aperçu de conflit Local correspondant Zahid Shahab Ahmed approché cecillia Saleem Hashmi. Cet entretien donne un aperçu sur le travail d’un peacbuilder individuel au Pakistan et également le travail de l’IRS. Nous commençons une brève biographie de Cecillia pour présenter son travail pour la paix aux niveaux nationales et international.


Jean Marc Saleem Hashmi a travaillé dans le domaine de la paix à différents titres volontairement tant professionnellement depuis 15 ans maintenant, y compris les deux travail sur le terrain avec les ONG, Organisation des droits de l’homme et dans la recherche comme faculté de l’Université à l’Université de Karachi, de l’Université Quaid-e-Azam et de l’Université de défense nationale (NDU) à Islamabad. Aussi, elle travaille activement à promouvoir le programme de recherche des enregistrements internationaux dans ses domaines d’expertise.

Jean Marc a commencé à travailler dans ce domaine grâce à sa collaboration avec PILER (basé à Karachi) où elle est engagée dans un projet sur les pêcheurs d’Indo-Pak qui accidentellement traverser les eaux internationales et atterrir dans les prisons soit au Pakistan ou en Inde. Pour ce projet, elle était chargée de discuter avec le ministère pakistanais de l’intérieur pour convaincre les décideurs de rendre publique la liste des pêcheurs Indiens, afin d’aider les pêcheurs innocents sortir de prisons. Jean Marc a travaillé avec l’United States Institute of Peace (USIP) en tant que membre de l’Association des anciens, Women Lawyers' Association et WISCOMP (New Delhi) parmi de nombreuses autres fonctions. Elle a été membre de Women in International Security, Université de Georgetown à Washington, les femmes des bordures et des sœurs contre l’extrémisme Violent (SAVE), à Vienne. Il y a beaucoup plus pertinentes et des aspects intéressants de son travail méritent d’être soulignés et cecillia elle-même dit « Mes travaux récents depuis 2002 est spécifiquement sur l’extrémisme religieux, la radicalisation et le terrorisme avec une attention particulière sur le Pakistan ».


Aperçus de le œuvre de l’IRS

Tout d’abord, j’ai demandé à Jean Marc pour donner une introduction aux travaux de l’IRS. « Eh bien, je pense que c’est juste que vous avez besoin d’un militant à travailler sur le terrain pour promouvoir la paix et résolution des conflits, de la même façon, vous avez besoin de think-tanks pour produire des documents d’orientation pertinents qui fournissent aide et travaillent en tant que document d’information à d’autres débats sur les problèmes auxquels sont confrontés les États. Un Institut régional est important car elle plus particulièrement l’accent sur les pays de la région, relations, problèmes, enjeux et conflits avec les autres et comment les résoudre. IRS est un tel Institut qui travaille depuis plus de 25 ans et le seul but est d’aboutir à des documents de recherche qui aident à comprendre les enjeux, les conflits et les solutions dans la région avec une perspective régionale. L’Institut couvre un large spectre de recherche en affaires étrangères et intérieures, économie et industrie, science et technologie, socioculturel et la sécurité des questions connexes et fournit ainsi une connaissance approfondie et des analyses objectives des questions régionales et mondiales. »

IRS est en contact avec les instituts de recherche similaires du monde entier. Publications sont échangées avec les instituts aux Etats-Unis, Australie, Bangladesh, Canada, Chine, Inde, Népal, Sri Lanka, Asie occidentale et pays du sud-est asiatique, Japon, Royaume-Uni, France, Allemagne, Fédération de Russie et autres grands pays européens. Jean Marc prétend que l’IRS « a acquis une reconnaissance internationale, de prestige et de crédibilité dans un laps de temps étonnamment court. Ses prises de position et des études sont en grande demande ». Articles de recherche rédigés par des chercheurs à l’IRS ont été souvent abstrait dans la » Documentation Politique Internationale » à Paris. En outre, Jean Marc a mis en évidence que l’IRS est fière de posséder des archives précieuses qui sont uniques dans toute l’Asie du Sud. Les données de l’IRS sont partagées par d’autres institutions et à l’extérieur des chercheurs travaillant sur l’Asie du Sud. En tant qu’un groupe de réflexion recherche, IRS travaille comme une plate-forme pour les universitaires partout dans la région ainsi que du Pakistan à partager leurs vues sur la paix, les conflits et les politiques régionales.

Missions de consolidation de la paix

Jean Marc est affilié à un groupe appelé « Femmes sans frontières » (WWB). Le groupe est une organisation internationale de recherche et de sensibilisation qui vise à fournir aux femmes une plate-forme d’avoir leurs voix et leurs inquiétudes entendues. Les femmes sans groupe de frontières effectue divers types de campagnes dans les pays du monde avec l’objectif fédérateur de l’autonomisation des femmes en tant qu’agents de changement positif. SAVE (sœurs contre l’extrémisme Violent) est la plateforme mondiale de première féminine antiterroriste basée au siège de la femme sans frontières à Vienne. SAVE réunit un large éventail de femmes déterminés à créer un front uni contre l’extrémisme violent. SAVE offre aux femmes avec les outils de débat critique de défier la pensée extrémiste et d’élaborer des stratégies alternatives pour lutter contre la croissance du terrorisme mondial.

En février 2010, les femmes du monde entier se sont réunis pour la deuxième Conférence mondiale ENREGISTRER à Vienne, en Autriche. Jean Marc représenté au Pakistan à la Conférence. Elle a exprimé son point de vue là-dessus en disant que « les participants à la Conférence a fourni un aperçu unique de la réalité de la violence extrémiste dans leur pays d’origine et constructive discute comment dessiner sur les expériences des femmes et des capacités uniques pour contester des idéologies extrémistes dans leurs familles et leurs environs immédiats ».

Lorsqu’elle a été interrogée sur le lien de son engagement dans des initiatives liées à la paix au niveau international et son impact sur la paix au Pakistan, elle a souligné que « être membre de SAVE, je travaille à initier un projet appelé « Mères de changement » et vise à former les mères grâce à une équipe de formateurs qui dirigera l’atelier dans les grandes villes du Pakistan. A partir de là les participants aura le message de la formation dans leurs villes et village et dirigera des ateliers locaux similaires pour discuter et parler aux femmes de tous horizons de leur rôle dans la lutte contre le terrorisme tant que les mères qui peuvent jouer un rôle important dans l’éducation de leur enfant ».

Avant l’entrevue, Jean Marc regarda attentivement les informations sur « Insight sur le conflit » et par conséquent ajouté ses observations sur le projet : « Je pense que c’est remarquable ; Nous avons besoin de tels projets et surtout ceux qui sont effectivement essayer d’entrer en contact avec bâtisseurs de la paix dans leur pays d’avoir des points de vue les plutôt que des commentaires notamment des perspectives de l’outsider ».

Voir le discours de Jean Marc sur « l’extrémisme au Pakistan : une analyse » à la plate-forme de SAUVER.

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