Droit de circulation des informations dans le Jammu & Kashmir perspicacité sur conflit sur Vimeo.

« Dans les 20 dernières années les deux, le gouvernement de l’état de Jammu et Cachemire et l’Inde ont donné priorité qu’à l’aspect politique et de sécurité de cette région, alors que les questions sociales, la gouvernance et la responsabilisation ont prendre un siège arrière », Dr Raja Muzaffar dit avec un ton vexé. Un dentiste de profession, m. Muzaffar dirige le droit à la circulation des informations au Jammu et Cachemire, qu’il croit est la construction d’un outil potentiel pour la paix dans la région. « C’est à cause de cette arme que nous puissions apporter la vraie démocratie, justice pour tous et assurer la protection des droits du peuple », il a à nouveau.

Autres militants du Dr Muzaffar, près de 20 d'entre eux de différents villages, assis avec lui en cercle dans la salle du Conseil citoyen de Chadoora, District de Badgam, presque une heure de route de la capitale Srinagar, d’accord avec lui. « Quand les opprimés et les pauvres seront obtiennent leurs droits, militantisme automatiquement vont disparaître », ils opinent du Bonnet, qui ne peut être accepté par tous, mais clairement pour les gens qui ont rejoint le mouvement, ils sont convaincus que la RTI est la réponse pour la justice sociale, de bonne gouvernance, de responsabilité et de transparence qui à son tour amènera la paix. « Yahi hatiyar yahan aman layega (cette arme seule apportera la paix ici), » ils lèvent les mains et crier à l’unisson.

Le voyage de ces cœurs courageux a commencé quand le Dr Cheikh Gulam Rasool, un médecin militaire mobile travaillant dans les villages de frontière lança loin sous le frontière développement programme géré par le gouvernement de l’État, a rencontré les villageois. « J’ai remarqué que dans les zones bien lança, une personne commune devait lutter même pour une carte de rationnement [fiche d’une subvention de gouvernement]. Il y avait de diktat des politiciens locaux, mafia de l’entrepreneur et l’oppression par des propriétaires terriens », qu’il partage. Son ami, le Dr Muzaffar, qui souvent lui rendre visite, a commencé à interagir avec les villageois, le Dr Rasool ont assisté à ses patients. Dr. Muzaffar s’est enquis des gens au sujet de leurs problèmes. « Aujourd'hui, cela a pris la forme d’un mouvement de RTI que les gens du commun sont joignent à nous », dit m. Muzaffar.

Cependant la croisade pour la justice et la paix n’est pas sans ses défis et dangers. Branwar, un village de la frontière lorsque le Comité local d’Insanf Awami (Comité de la Justice du peuple), qui est maintenant le chien de garde locale RTI, exposés les irrégularités dans un régime de gouvernement, les politiciens locaux et les entrepreneurs du bois influencé la police à arrêter les militants sur des accusations sans fondement de vol et même envoyé leurs hommes de main avec axes de les attaquer. « Nous avons dû se cacher dans les jungles et certains de nos militants ont été mis derrière les barreaux avec des criminels », dit Dr Muzaffar.

Visiblement chargée et agité Mushtaq Ahmed Mir, Nazeer Ahmed, Mohd Iqbal Nadem et plusieurs autres membres du Comité Insaaf Awami assis dans la salle semblée toutefois pas ébranlée dans leur quête. « Cela a donné un point d’entrée pour les opprimés d’obtenir justice et nous n’allons pas abandonner », dit m. Muzaffar. Lettres adressées au ministre du chef de l’Etat et d’autres militants de la RTI à travers l’Inde comme assurant également des éditoriaux dans la presse locale a mis en évidence la nécessité et l’urgence d’atteindre la justice pour les gens du commun au Jammu et Cachemire, une région chargée de conflits et la violence. Pour cela le bon personnes dont les aspirations sont exploitées par les séparatistes pour aider à former leurs circonscriptions pour la politique extrémiste et qui sème la discorde. Un effort vers le peuple loin des groupes séparatistes grâce à une gouvernance participative le sevrage peut construire politique et structures laïques.

Les exemples de réussite où les villageois ont été en mesure d’obtenir l’eau potable dans leurs villages ou abri hangars pour les personnes sous le seuil de pauvreté ont encouragé l’esprit des villageois. « Je cherche la réponse quant à combien de rizeries illégaux opèrent dans notre quartier résidentiel comme l’un des moulins adjacentes à ma maison a rendu impossible pour nous d’y vivre », explique Hilal Ahmed Bhat. Avec une liasse de documents sous le bras, ce qui indique la longue bataille qu’il a fait appel auprès des différentes autorités, Hilal est confiant pour obtenir justice. Est donc juyjuy, directrice de gouvernement Girls High School, Raipora, District de Badgam envisage de déposer une RTI au nom de son école. « L’ensemble du bâtiment s’effondre presque et il est dangereux pour 130 enfants et 13 fonctionnaires d’être ici », dit-elle montrant les murs lézardés, parquets et cédé au toit. « Nous n’avons aucune option mais à la lutte pour l’infrastructure de sécurité et les écoles de nos enfants par le biais de RTI ».

L’équipe de la RTI se répand lentement connaître la loi au public grâce à des ateliers et séminaires à travers l’État et ses encourageant de voir quand les gens de la région de Jammu évoquent des militants des mouvements de la RTI pour informer sur la façon d’obtenir justice, clairement un problème qui se connecte personnes réparties autrement grâce à la politique, l’identité, l’appartenance ethnique et religion.

Ashima Kaul, Insight sur le conflit du correspondant Local, Kashmir. Avril 2010.