[Légende id = « attachment_37098 » align = « aligncenter » width = « 580 »] karachi-police-checkpoint-4559782014-blog Un poste de police à Karachi (crédit Image : Benny Lin) [/caption]

Ces dix dernières années au Pakistan a été témoin de violence sans précédent. Des milliers de familles ont perdu des êtres chers, des explosions ont modifié la forme de l’infrastructure et turbulence a entraîné la détérioration de l’économie. Les efforts du gouvernement ces dernières à trouver la paix avec le Tehrik-i-Taliban Pakistan (TTP) sont une étape positive vers la ramener l’âge d’or du Pakistan. Pendant les jours de cessez-le-feu, il y a eu un déclin observable dans des activités terroristes menées par le TTP, en particulier dans la région la plus touchée, Khyber Pakhtunkhwa. Bien que le cessez-le-feu ne semble avoir été il y a lieu à Karachi continuant à témoins de violence endémique.

Il est vrai que le rapport des explosions dans la ville est relativement faible, mais Karachi a été en proie à l’assassinat ciblé rampante. Ces assassinats ciblés sont essentiellement politiques et sectaires dans la nature. Chiites sont les plus touchées parmi tous. Selon les estimations, 47 chiites ont été tués depuis janvier 2014 - dont quatre médecins, quatre professeurs, deux avocats et une entité de sécurité.

[vedette] Un frère d’une victime dit explicitement que ces établissements sont impliqués et responsables de l’assassinat de son frère aîné. [/standout] Dans mes entretiens avec les familles chiites, j’ai observé depuis leur méfiance sévères remarques dans les institutions étatiques. Tout en posant sur le meurtre sectaire en cours, ils ont répondu souvent brusquement - « le gouvernement, les forces de sécurité et la magistrature sont responsables ».  Un frère d’une victime dit explicitement que ces établissements sont impliqués et responsables de l’assassinat de son frère aîné.

Fait intéressant, l’armée est la seule institution dont ils font confiance. Syed Zafar Abbas Jafri, Secrétaire général de la cellule de catastrophe Jafaria, partagé son considère que le « armée est la seule institution qui peut faire confiance ». Il a exprimé par ailleurs que les forces de gouvernement et de la sécurité civiles (police et les rangers) ont complètement échoué à protéger les chiites, et « nous pensons que l’armée est la seule institution avec le potentiel et l’intention de nous protéger ».

Dans ministre d’une récente vidéo Pakistan de la défense, Khawaja Asif, a été vu censurer le général Pervez Musharraf de (r). Pour ce faire, Asif fait face à sévères critiques pour diffamer et censurer l’institution de l’État soit armée. Les détracteurs de Asif a soutenu que son acte peut entraîner un déficit de confiance entre le peuple et l’armée qui entravera la foi publique pour toutes les institutions de l’Etat. Comme tel, il est impératif de conserver le soutien du public.

Théoriquement, aucune institution ne peut fonctionner sans le soutien de son peuple. Lorsqu’il y a un vide entre les personnes et les institutions, il ouvre la voie à la désintégration de l’État. Le meurtre de chiites qui prévaut est de créer un degré alarmant de méfiance entre chiites et état établissements. Si le problème persiste, ces personnes pourront commencer à tourner activement contre l’État.

Il est enclin à se référer à la situation au Baloutchistan. Depuis 1948, les Baloutches ont été les victimes des atrocités de l’État. Institutions du Pakistan ont lamentablement échoué régler ce problème. En conséquence, les Baloutches se retourna contre l’État et figurent maintenant sur la réalisation de l’indépendance et la formation d’un plus grand Baloutchistan.

Ségrégation du Pakistan oriental est un autre exemple de dysfonctionnement de l’Etat. Pakistan doit déjà faire face à plusieurs menaces - y compris les menaces de la frontière, le terrorisme et autres menaces internes. Et, il n’est pas en mesure de supporter davantage.

Là urgent besoin de rendre justice. Des milliers de terroristes ont été libérés au manque de preuves. Par ailleurs, les critiques du système judiciaire soutiennent également que le système judiciaire du Pakistan est relativement lente et inefficace. Un grand nombre de cas est encore en instance, même si plusieurs années se sont écoulées.

[vedette] Le gouvernement civil doit prendre des mesures contre ceux qui alimente la violence et la haine. [/standout] En revanche, le gouvernement civil doit prendre des mesures contre ceux qui alimente la violence et la haine. La libre circulation et le fonctionnement des équipements interdits doivent être réduites.

La Commission des droits de l’homme du Pakistan dans son rapport État des droits de l’homme au Pakistan 2013 a condamné le meurtre sectaire en cours et a souligné que le gouvernement habituel assurances après ces meurtres sectaires ne pas « apaiser la douleur des personnes directement concernées et des innombrables autres pakistanais qui se sentent un sens aigu de l’abandon. Plutôt que louant les citoyens pour déjouer les tentatives de fomenter des effusions de sang sectaire, le gouvernement doit attraper les tueurs pour mettre fin à cette boucherie. C’est incessant et insensé tuer comme ça qui a donné lieu à des soupçons que les agences de sécurité soit n’ont pas la moindre idée sur la façon d’arrêter l’effusion de sang, ou ils sont impliqués. Dans de tels cas incompétence est seulement marginalement moins accablant que carrément complicité ».

Il est grand temps que toutes les institutions compétentes doivent jouer leur rôle, y compris le gouvernement civil, judiciaire et forces de sécurité pour arrêter ce massacre. Dans le cas contraire, il sera trop tard et notre rêve d’une société démocratique et pluraliste restera inassouvi.