Référendum du Sud-Soudan est venu et reparti. Ce qui trouve à suivre après l’indépendance sur le plan de paix, de développement et de la sécurité est toutefois encore à déterminer. Les 15 années de guerre à gauche plus 1 million personnes morts et plus de 3 millions déplacées. Négociations ont abouti à l’accord de paix global (APG) en 2005, qui prévoyait un référendum sur l’indépendance pour les sudistes.  Le référendum a eu lieu en janvier, avec un soutien écrasant à la succession. Mais sérieux défis face Sud-Soudan qui se prépare pour l’indépendance le 9 juillet 2011.

Les défis d’une nouvelle nation

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Un éventail de défis sont présents avec cette nouvelle nation tente de voler de ses propres. Mis à part les questions de gouvernance et de prestation de service médiocre, le plus grave est les apparemment sans fin des conflits internes. Par conséquent, le gouvernement du Soudan du Sud nouvelle devrait envisager :

  1. Faire place au pluralisme en permettant la participation politique des citoyens. Agir autrement pourrait ouvrir la voie à plus de conflits à travers les insurrections, activités des milices, défection de l’armée et des griefs latents dans le secteur de la sécurité.
  2. Sondage post-référendum négociations entre mouvement de libération (MPLS) et le parti du Congrès National (PCN) du peuple soudanais devraient se concentrer sur assurant une séparation Pacifique et une relation Nord-Sud constructive basée sur le bénéfice mutuel des ressources de pétrole, éviter la « malédiction des ressources ».
  3. Sud-Soudan doit coopérer avec ses voisins de surmonter les menaces à la sécurité de l’armée de résistance (LRA du Seigneur) et d’autres milices, ainsi que les conflits frontaliers. L’Etat d’Equatoria occidental souffre particulièrement sous les troupes LRA déchaînés, déplaçant des agriculteurs et pouvant déboucher sur une crise humanitaire en raison de l’insécurité alimentaire accrue. Communautés tournera plus en plus à des groupes de miliciens pour la protection si la sécurité du gouvernement est absente.
  4. Au niveau national, le rôle important des partis d’opposition et la société civile dans la prochaine transition doit être reconnu. Il y a donc un besoin d’un Comité de révision constitutionnelle inclusive adhérant aux accords de la CPA.

La gravité de la violence doit redoubler d’efforts délibérés et intégrées. Le 2010 rapport sur les droits de l’homme : Sud-Soudan a noté les abus et les conflits internes visages du Sud-Soudan à l’indépendance. Conflits, les attaques des milices après les élections, vol de bétail et attaques de la LRA, tout a abouti à la mort et déplacement dans le sud depuis le référendum interethniques.

Couplé avec la violence, 2 millions déplacer personnes à l’intérieur (PDI) et 350 000 réfugiés sont rentrés dans le sud depuis 2005. Compte tenu des leçons tirées des rapatriés du Libéria, il est nécessaire de trouver des façons d’améliorer la coexistence entre les communautés d’accueil et des rapatriés.

Quel rôle local consolidation de la paix peut jouer ici ?

Renforcement local consolidation de la paix

Consolidation de base englobe des efforts de renforcement de structures localisées et les mécanismes de manière constructive réagir à la violence, aide, de secours et de la transformation des conflits. Cette démarche essentielle est le tissu social qui construit une paix durable. C’est le peuple au niveau local qui ont le plus souffert de la guerre et continuent de souffrir par déplacement, deuil, traumatisme et communautaire au quotidien des affrontements. La paix est un bien commun que nous devons encourager et protéger.

Mars a été marquée par des affrontements intercommunautaires dans Mvolo entre le Jur et la Dingas dans l’Equatoria occidental. Plus de 60 ans sont morts et beaucoup plus déplacement. Avec une histoire de conflits tribaux, bétail bruissement et l’insécurité croissante, celui demander : que peut-on faire au niveau local afin d’améliorer la consolidation de la paix ?

Améliorer la responsabilisation des forces de sécurité

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Une option de travail de niveau de base est l’amélioration des forces de sécurité. Il y a plusieurs cas où les forces de sécurité ont été blâmés pour commettre ou participer à la violence. Comme le montrent ces incidents, il devient impératif pour un nouveau pays à respecter les droits et la primauté du droit. C’est par le biais de la promotion et la protection des droits de l’homme que la paix parmi le peuple est stimulée dans tous les secteurs et niveaux.

En regardant les réformes de consolidation de la paix et la sécurité dans les zones post-conflit préalables, trois leçons sont évidents :

  1. Un manque de gouvernance du secteur de la sécurité est souvent une source de conflit et constitue un obstacle essentiel à la consolidation de la paix.
  2. Les institutions de sécurité peuvent jouer un efficace, légitime et démocratiquement responsable rôle dans la société.
  3. Si contrevenants visage de poursuites et la désapprobation sociale, les gens vont être découragés de se livrer à la violence armée. Cela est souligné par le Rapport sur le développement Word 2011, avec l’appel à la sécurité des citoyens et de la justice afin de briser le cycle de la violence. En effet, il faut améliorer la responsabilisation parmi les forces de sécurité et de favoriser la justice réparatrice dans le sud du Soudan afin de prévenir et de gérer une rechute dans la violence.

Comprendre le rôle de la religion

Une deuxième option pour l’engagement de base est de travailler avec et à travers les structures et les communautés religieuses. Dans de nombreux cas, l’église semble avoir plus de poids que presque n’importe qui d’autre dans le courtage des pourparlers de paix entre les factions belligérantes. L’enchâssement historique, culturelle et traditionnelle de l’église a la crédibilité et la pertinence de la communauté. C' est un vaste réseau atteint jusque dans les zones les plus reculées. En outre, l’église a une intégration du travail social et pastoral, mettant l’accent sur la dimension psycho-sociale et spirituelle de la transformation des conflits, même si l’église est tantôt blâmée pour exlusionist tendances. Comme un indicateur pour l’église influence, environ 40 % de la population du Sud-Soudan se considèrent catholiques et Anglicans 30 %.

Diplomatie discrète

Une troisième option populaire est la diplomatie discrète. Les dirigeants influents de la société civile, parmi eux, les chefs religieux notoires, ont le potentiel de l’application des mécanismes de diplomatie préventive en collaboration avec le gouvernement.

Cette approche de la porte arrière est suggérée parce que l’État est encore jeune. Il est également soutenu par le bagage culturel, ce qui suggère qu’un leader ne soit pas amoindrie en public. Au lieu de saper la transparence, cette approche reconnaît les énormes attentes d’une nouvelle nation. Confrontation normale et ouverte peut être acceptable pour le public, mais ne pourrait pas engendrer l’État démocratique souhaité.

Conclusion et recommandations

Consolidation de base doit être améliorée à l’échelle du Sud-Soudan. Cela peut être fait par le biais de tenir les forces de sécurité et les dirigeants responsables ; réalisant le rôle essentiel (saluant, condamner, corriger et coalescence) de l’église et l’application de la diplomatie discrète. Il est à espérer que localisée et autochtones de consolidation de la paix peut consolider la paix, de stabilité, de sécurité et de développement. Donc, je tiens à formuler les recommandations suivantes :

  1. Personnes, parties et la société civile :
    • renforcer les femmes, les jeunes et la participation communautaire dans la consolidation de la paix ;
    • autonomisation des structures de gouvernement local ;
    • investir dans l’éducation et l’alphabétisation des adultes en particulier ;
    • adopter un cadre de sécurité globale de la sécurité humaine ;
    • continuer à appliquer des mesures correctives et rendant hommage à des personnalités publiques grâce à une diplomatie tranquille.
  2. Le gouvernement du Sud-Soudan à :
    • construire le soutien aux partenariats impartiales vers la consolidation de la paix en base ;
    • améliorer la guérison des traumatismes à travers tous les secteurs et les niveaux du pays ;
    • mettre en place et l’autonomisation des structures de gouvernement local afin de renforcer la responsabilisation parmi les dirigeants du comté et de l’États ;
    • déployer des forces de sécurité, en particulier la police, pour protéger activement les citoyens des affrontements intercommunautaires, les attaques des milices et la LRA ;
    • investir dans l’éducation dans tous les villages ;
    • conserver et mettre l’accent sur la primauté du droit dans tout le pays.
  3. La communauté internationale :
    • à l’appui local consolidation de la paix par le biais de partenariats ;
    • pour encourager et faciliter la poursuite du dialogue et coopération entre les gouvernements du Soudan et du Sud-Soudan.
    • pour construire impartial partenariat solidaire avec le peuple du Sud-Soudan et à son gouvernement, tout en dessinant une ligne claire entre le gouvernement et le SPLM.
Hope Chichaya, mai 2011