[Légende id = « attachment_55965 » align = « aligncenter » width = « 580 »] from Mali and elsewhere in Africa have sought to start new lives in Europe. Image Credit: Carsten ten Brink. du Mali et ailleurs en Afrique, ont cherché à commencer une nouvelle vie en Europe.
Crédit image : Carsten ten Brink. / [caption]

[vedette] Le Soudan a un record de brouille avec et d’expulser les organisations d’aide internationale [/standout] Imagine un jeune homme au Mali appelées Adama. Alors qu’il brouille pour son prochain repas, il entend parler des scandales d’une petite élite abuser de leur pouvoir – des Maliens s’enrichir à ses dépens. Il ne voit aucun avenir et donc utilise ses économies pour payer contrebandiers, pour l’aider à laisser un État mal gouverné et corrompu. Exactement le type d’État que l’UE veut soutenir – à essayer d’arrêter les personnes quittant.

Ou prenons Kamal, depuis les montagnes de Nuba au Soudan. Un jour, les massacres qui ont fait rage en silence dans tout le pays viennent à sa porte. Alors il s’échappe, laissant sa maison, son village et sa vie derrière. Les autorités soudanaises sont profondément impliquées dans ces violences, qui a eu lieu pendant des décennies – mais qu’ils reçussent maintenant prise en charge de surveillance de l’UE. Destiné à arrêter les migrants en passant, il ne finira par utilisées contre ses propres citoyens ?

Afin d’endiguer la migration depuis l’Afrique, l’UE est préparer des offres combinant aide et soutien à la gestion des flux migratoires avec des conditions pour les gouvernements africains à coopérer. Soudan et l’Érythrée sont prétendument parmi les régimes plus récentes que l’UE soit traite de finalisation. L’UE avait auparavant déclaré son intention de ne pas fournir une assistance par l’intermédiaire de gouvernements. Mais dans le cas des États comme le Soudan, il pourrait avoir à. Soudan a un dossier de brouille avec et les organisations d’aide internationale expulser de son territoire. La dernière victime est Ivo Freijsen, chef du Soudan de l’OCHA. « Pays paquets » de l’UE risquent encourage les autorités et le renforcement des dictatures.

Où va l’argent ?

Bien que le plan de l’UE rapporte longuement sur comment s’attaquer aux causes profondes de la migration irrégulière, la plupart des fonds sont gages d’une aide antérieure par l’Union européenne et ses États membres. L’historique des dépenses de migration montre que, au lieu d’être dépensé sur les causes profondes, la plupart de l’argent ira à la gestion des flux migratoires. Ceci est principalement destiné aux gouvernements pour appuyer leurs contrôles aux frontières. Soudan bénéficie déjà d’un programme régional de $ 40 millions pour « mieux gérer les migrations » dans la corne de l’Afrique, sous le fonds d’affectation spéciale d’urgence de la Commission européenne $ 1,8 milliards pour l’Afrique.

L’encontre du but : la nécessité de faire correspondre les moyens et la fin

[vedette] L’UE devrait revoir son appui pour éviter que les jeunes gens [/standout] c’est un problème car une grande partie de cet argent pourrait finir par renforcer les régimes qui ont déjà des contrôles aux frontières d’État policier-type. Ils ne sont pas garanties à respecter les droits humains fondamentaux et pourraient bien déclencher d’autres facteurs qui poussent les jeunes à quitter en premier lieu. Si l’UE devrait analyse critique de son appui à la gestion des migrations, afin d’éviter il exacerbe les facteurs qui affaiblissent les jeunes. En particulier, elle devrait examiner exactement comment les gouvernements contrôlent leurs frontières.

Sur le flanc ouest de l’Afrique, les plus notoires routes irrégulières guident pays avec des frontières faibles, comme le Mali, le Niger et la Libye. La situation actuelle contribue à un marché rentable pour l’infiltration de groupes extrémistes et criminels, y compris les passeurs de migrants, qui attirent les jeunes vulnérables dans leur entreprise. Fournir des fonds pour la gestion des flux migratoires à des postes frontaliers qui vivent hors de pots de vin issus de ces groupes n’est pas seulement un gaspillage d’argent, il peut faire de l’UE complice et faire du mal.

Mettre l’accent sur ceux qui sont concernés : les jeunes veulent quitter

Tant qu’aucune aide ne parvient pas à s’attaquer à la corruption et la mauvaise gouvernance, les causes profondes jeunes africains à quitter leurs foyers au volant ne seront pas traitées. Notre recherche montre ces deux facteurs, en particulier, comme en poussant les jeunes africains à migrer. Mais les décideurs à peine reconnaissent. Un récit persistant est que développement supposément aidera à arrêter la migration. En fait, jeunes partira dès qu’ils ont l’argent pour le faire. Ils ont besoin d’emplois et sécurité qu’un point de vue : faire partie de la construction de l’avenir de leurs pays. C’est précisément ce qui pourrait miner la traite : en travaillant à l’ancienne, gouverner les élites et exacerber les régimes autocratiques et la corruption.

Dans les décennies à venir, l’Afrique connaîtra un bombement de la jeunesse démographique sans précédent. Des millions plus jeunes devront être logés sur le continent lui-même. Nous devrions plutôt se concentrer sur contribuant à créer des perspectives à long terme pour les jeunes africains. Cela nécessitera approche de travail de leur communauté en directe, jusqu’au niveau du gouvernement, avec une politique intelligente, dirigé localement. Et en collaboration avec des partenaires qui ont l’effet de levier avec les élites et le gouvernement, afin de traiter efficacement des structures jeunesse actuellement sape.

De mai 2016, environ 1 100 personnes ont péri noyées dans la mer Méditerranée. La plupart d'entre eux était désespérés de jeunes africains à la recherche d’un avenir. Mettons tous nos efforts dans la négociation d’accords avec les gouvernements africains qui seraient réellement offrir de réelles perspectives à leurs jeunes citoyens. Associant à façonner l’avenir de leur pays serait un bon premier pas. L’UE peut jouer un rôle de catalyseur dans ce en développant une jeunesse dédiée pour la politique de l’Afrique. Et alors que les frontières dans la région doivent être fixées de toute urgence, un soutien doit être géré de façon plus sérieuse, examiné attentivement les éventuelles conséquences imprévues – telles que la conduite des plus jeunes sur les bateaux.