L'Association pour la Redynamisation de le L'Elevage au Niger (AREN ; en anglais, le « Association pour la Revitalisation de l'Elevage au Niger ») cherche à améliorer la vie des agriculteurs au Niger. Il est connu comme la voix des éleveurs par rapport à la terre, gestion des conflits et le développement.
La vision de AREN est d'un monde où pasteurs sont respectés comme tous les autres citoyens, leur contribution à l'économie nationale est reconnue et soutenue, et leur activité est sécurisée.
La mission de l'organisation est un outil pour les agriculteurs nigériens pour assurer leur représentation et de défendre leurs droits dans les débats les, nationaux et internationaux et permettre leur implication dans les politiques et activités de développement.
Approche de AREN à la prévention des conflits
AREN croit que la terre est fondamental dans la vie de ses membres, et c'est aussi une commune bien partagée entre les agriculteurs. Cette coexistence crée des conflits entre les agriculteurs qui sont de protéger leurs récoltes et les pasteurs qui sont chargés de nourrir leur bétail. En plus de cela, les agriculteurs sont également traitant de l'urbanisation des villes et la demande de terres afin que les industries peuvent se développer.Afin d'éviter des conflits de terres que ces facteurs contribuent à, AREN a élaboré un plan de cinq ans dans lequel il veut enseigner aux membres d'utiliser la loi dans la résolution du conflit, au lieu de régler les différends par la violence. En outre, AREN sensibilise sur le code rural qui a longtemps souffert de non-conformité. Pour AREN, la connaissance et la maîtrise du code rural est très précieux en évitant les tensions entre les agriculteurs.
AREN organise régulièrement des forums communs sur des questions comme l'accès aux points d'eau et zones de pâturage. Il est actif dans les différentes lois et règlements dans les communautés locales, en mettant l'accent sur les lois sur le pastoralisme. Création de AREN d'un espace pour la coopération et la collaboration entre agriculteurs a donné plusieurs résultats positifs. Ils ont réunis et a conclu des accords sur des sujets tels que :
- La création de corridors de passage qui sont réservées aux animaux dans le camp ou en mouvement.
- La création de terres réservées spécifiquement pour le pâturage.
- Un accord mutuel d'avoir des propriétaires ruraux communiqué de champs au moins trois mois après la récolte afin de permettre des bovins tirer parti des résidus de récolte.
- La création d'un observatoire qui relaie toute l'information contre les menaces de haut en bas et vice versa pour alerter en cas de violation ou tentatives de pâturage des régions ou des corridors de passage.