Le Alexia Foundation promeut l’utilisation de la photographie pour contester l’injustice sociale. La Fondation fournit des subventions, bourses et autres moyens de soutenir les photographes comme agents du changement.

La Fondation a été créée en l’honneur de Alexia Tsairis, qui a perdu ses 20 ans de vie dans l’attentat de 1988 Lockerbie avion. Depuis 1991, la Fondation a financer des projets de photographie sur un large éventail de questions, à travers le monde.

Ci-dessous sont des exemples de l’ouvrage, que la Fondation a financé. Cliquez sur chaque image à prendre pour la collection complète.

[Légende id = « attachment_29736 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Afghan boys play on swings in Dand District South of Kandahar City, Afghanistan. In 2009, this district teetered on the verge of collapse as insurgents operated freely, intimidating and terrorizing the local population and government officials. Although it is not completely secure, a long term counterinsurgency (COIN) operation implemented by Canadians turned the area around. © Louie Palu/ZUMA Press/Alexia Foundation Garçons afghans jouent sur les balançoires dans Dand District sud de la ville de Kandahar, en Afghanistan. En 2009, ce quartier a vacillé sur le point de s’effondrer comme insurgés exploités librement, intimider et terroriser les population et des fonctionnaires les. Bien que ce n’est pas complètement sûr, une opération de contre-insurrection (COIN) à long terme mis en œuvre par les Canadiens retourna la zone. © Louie Palu/ZUMA Press/Alexia Foundation / [caption]

[Légende id = « attachment_29737 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Gibrilla Kamara, 60, is from Port Loko. Rebels amputated his hands with a machete. He was asked to give the hands he voted for Kabba (the president) with. The hand to the right belongs to Isatu Biah, 26, from Port Loko. While the rebels were cutting her hands with machetes they heard a noise and ran away leaving her hand half hanging. Jan Dago/Alexia Foundation Gibrilla Kamara, 60, est de Port Loko. Rebelles amputé de ses mains à la machette. Lui a demandé de donner les mains, avec qu'il a voté pour Kabba (le Président). La main vers la droite appartient à Isatu Biah, 26, de Port Loko. Tandis que les rebelles étaient coupe ses mains à la machette ils ont entendu un bruit et a couru loin laissant la moitié suspendu sa main. Fondation Jan Dago/Alexia / [caption]

[Légende id = « attachment_29738 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Durba, Democratic Republic of Congo, October 2004. Congolese men & boys prospect for gold, all work being done by hand. Roger LeMoyne/Alexia Foundation Durba, République démocratique du Congo, octobre 2004. Congolais perspective hommes et les garçons pour l’or, tous les travaux réalisés à la main. Roger LeMoyne/Alexia Foundation / [caption]

[Légende id = « attachment_29740 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Young Afghan girls look out the window from their classroom in Manogai village, East Afghanistan. More than a third of Afghanistan's 5 million schoolchildren are now girls, compared with practically none in early 1992. The repressive Taliban regime banned the education of girls. They began to trickle back to classrooms only after the US-supported Northern Alliance ousted the regime in 2001. Despite significant progress having been made since then, UNICEF said that the main impediments to girls at school included resource issues, like a lack of female teachers and inadequate school facilities, along with some socio-cultural factors hampering the process. Schools in the country remain segregated by gender and boys have to be taught be men and girls by female teachers. There are currently 1,350 girls' schools, along with 2,900 other institutions that hold split sessions, with girls-only classes in the afternoon. Balazs Gardi/Alexia Foundation Afghan jeunes filles regardent par la fenêtre de leur salle de classe dans le village de Manogai, Afghanistan oriental. Plus d’un tiers des écoliers de 5 millions de l’Afghanistan sont maintenant des filles, comparées à pratiquement zéro au début de 1992. Le régime répressif des talibans a interdit l’éducation des filles. Ils ont commencé à couler vers salles de classe, seulement après que les Etats-Unis ont soutenu l’Alliance du Nord a renversé le régime en 2001. Malgré des progrès significatifs ayant été réalisés depuis lors, l’UNICEF dit que les principaux obstacles aux filles à l’école comprennent des problèmes de ressources, comme un manque d’enseignantes et d’installations scolaires insuffisantes, ainsi que certains facteurs socioculturels qui entravent le processus. Écoles dans le reste du pays une ségrégation selon le sexe et les garçons doivent être enseignées être des hommes et des jeunes filles par les enseignantes. Il y a actuellement 1 350 des écoles de filles, ainsi que 2 900 autres institutions qui détiennent des sessions en deux parties, avec des classes filles seulement dans l’après-midi. Balazs Gardi/Alexia Foundation / [caption]

[Légende id = « attachment_29741 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Henriette, 35, and her eight-month-old twins spend each evening at “House Two” – a facility rented by Panzi Hospital to house more than 100 other women in the VVS program. The hospital rents two such houses to accommodate the average 250 women in the program at any given time. Melanie Blanding/Alexia Foundation Henriette, 35 et ses jumeaux de huit mois passent chaque soir à « Deux House »-une installation louée par l’hôpital de Panzi chez plus de 100 autres femmes dans le programme de la VVS. L’hôpital loue deux de ces maisons pour accueillir les moyennes 250 femmes dans le programme à tout moment. Melanie Blanding/Alexia Foundation / [caption]

[Légende id = « attachment_29758 » align = « alignright » width = « 580 »] A battalion of soldiers performs maneuvers in the early morning at Kody in the Nuba Mountains of Sudan. In the post-war period, a new joint armed forces is being formed that is half Nuba and half government forces. Francesco Zizola/Alexia Foundation Un bataillon de soldats effectue des manoeuvres en début de matinée à Kody dans les monts Nuba du Soudan. Dans l’après-guerre, une nouvelles forces armées conjointe est formée qui est moitié Nuba et gouvernement de la moitié des forces. Francesco Zizola/Alexia Foundation / [caption]