[Légende id = « attachment_37315 » align = « aligncenter » width = « 550 »] c Crédit image : Adam Cohn[/ caption]

Depuis l’indépendance de l’Ouganda a connu un certain nombre de conflits violents. Ces conflits ont été caractérisés par les crimes contre l’humanité, viol, torture, disparitions forcées et autres - et les atteintes aux droits humains, notamment ceux commis par des rebelles de la Lord Resistance Army (LRA). Toutefois, l’Ouganda n’a pas fait toute tentative délibérée pour répondre aux délits et crimes du passé commis contre les citoyens ordinaires. Cela a créé un cercle vicieux de l’impunité et d’atrocités, non seulement dans le nord de l’Ouganda, mais aussi dans tout le pays.

Prendre la responsabilité de reconnaître que les torts passés et les crimes ont été commis depuis les gouvernements successifs de plus grands obstacles ont dû faire face. Pourtant, historiquement peu a été fait. Toutefois, un changement est enregistré en Ouganda comme un certain nombre de discours de justice transitionnelle commence à émerger.

Sur 26 janvier 2014, le Président de l’Ouganda a fait une déclaration publique sans précédent, affirmant que le gouvernement va instituer une enquête sur les crimes commis par les soldats de l’armée de résistance nationale - maintenant les Forces de défense des peuples Ouganda - dans la sous-région Acholi et Teso, et les auteurs seront traduits en justice. Certains sont demandés comment véritable cette déclaration est, à venir 20 ans après les événements, mais elle fournit au moins un espace politique pour débattre et faire progresser le discours de justice transitionnelle dans ce pays.

Après le 26 janvier 2014 déclaration présidentielle, un certain nombre de projets de développement ont été lancé. Quelle que soit la méthode et la conceptualisation de ces projets de développement, ils sont tous visent à reconstruire la vie des personnes touchées par les conflits violents dans le nord de l’Ouganda après le conflit. Le danger est que ces projets de développement, c’est pas clair en ce qui concerne si ce sont des projets spécifiques de développement parrainés par l’État État régulier fonctions et responsabilités.

Le projet le plus récent est les shillings ougandais 20 milliards alloués par le Bureau du premier ministre pour les bovins repeuplement dans le nord de l’Ouganda. Le programme de reconstitution des stocks a été accueilli avec un beaucoup de critiques pour être imposée au centre et ne pas adopter une approche participative. À certains critiques, il semble être des affaires comme d’habitude pour le Bureau du premier ministre d’utiliser de tels projets pour collecter de l’argent destiné aux programmes de développement. Ces perceptions sont issues de précédents scandales de corruption et la mauvaise gestion du programme de développement des fonds destinés à la récupération du Nord de l’Ouganda et rétablissement de la paix.

Si la politique nationale de la Justice transitoire de l’Ouganda était en place pour guider ces politiques, cette confusion, idée fausse et la suspicion, peut-être pu être évité. Cependant la création de cette politique a été longtemps retardée. Sans ce guide en place la pratique et la mise en œuvre de la justice transitionnelle dans ce pays est susceptible de faire glisser depuis un certain temps.

Caractérisé par le doute, le débat de la justice transitionnelle a commencé à faire des progrès au Parlement ougandais. Une proposition récente avancée par l’honorable Reagan Okumu sur le sort des personnes touchées par la rébellion de la LRA rassemblait soutien collectif clivages politiques au Parlement. Il s’agissait d’un geste significatif qui a restauré l’espoir de nombreuses victimes touchées. La motion a recommandé réparation collective, comme le développement des infrastructures, un meilleur accès aux soins de santé et la formation professionnelle. Bien que cela semble intéressant, beaucoup de travail reste à faire pour obtenir le mouvement à travers les parties exécutives et législatives du gouvernement Ouganda. La volonté politique d’achat est impératif que les autres intervenants se concentre sur la technicité et la contextualisation de l’affaire qui nous occupe.

Il y a un besoin pour une analyse critique d’apporter des réponses ciblées aux besoins de la victime. Certaines de ces réponses ciblées pourraient être :

  • la nécessité d’une distinction claire entre les projets de développement et responsabilités gouvernementales régulières et des programmes de réparation spécifiques ;
  • un effort concerté pour promouvoir une approche ascendante tout en prenant en considération l’analyse sexospécifique de l’impact des atrocités sur les victimes ;
  • la nécessité d’un soutien psychosocial ; et
  • fourniture d’un appui financier pour améliorer les moyens de subsistance et réadaptation physique des victimes.
Plus important encore, tous de l’Ouganda doit reconnaître leurs droits et responsabilités à plaider pour le sort de la guerre affectés victimes et avancement leur programme national de la scène internationale.