[Légende id = « attachment_40806 » align = « alignnone » width = « 550 »] Ex-combatants are taking part in UN-organised DDR programmes in the Cote d'Ivoire, but some are unhappy at no having received money promised to them by the government. Anciens combattants participent à des programmes UN-organised DDR en Côte d’Ivoire, mais certains sont mécontents n’ayant ne pas reçu l’argent promis par le gouvernement. Crédit image : Photos de l’ONU[/ caption]

Les récents troubles dans l’armée ivoirienne révèle la fragilité de l’État et le grand malaise dans les armées de l’ivoire. Le Président, Alassane Ouattara, est sous une pression croissante de ses partisans de les récompenser pour leur rôle dans les conflits antérieurs. Et non satisfaits des promesses de son régime dans son ensemble sont provocateurs de mécontentement dans la société ivoirienne.

Pendant la crise postélectorale qui a conduit à l’éclatement de la seconde guerre civile ivoirienne, en 2011, des milliers de jeunes, les deux la Côte d’Ivoire et les pays voisins, notamment le Burkina Faso et du Mali, a rejoint la ses côtés dans les conflits violents entre ses partisans et ceux du Président sortant, Laurent Gbagbo.

Trois ans après sa victoire sur le camp de Gbagbo, les plus de 8 000 anciens combattants fidèles à Ouattara n’ont pas reçu la récompense financière que leur avait été promis pour leur soutien.

Justice défaillante

Promesse du Président de la justice pour tous après que le conflit commence à ressembler à elle ne va pas être remplie. Le système juridique national et la Cour pénale internationale ont été lents à poursuivre quiconque dans le cadre de la violence, en raison de la politique compliqué impliqué pour ce faire, et de nombreux rapports ont prétendu responsable des atrocités commises des deux côtés.

Commission d’enquête a signalé en août 2012 que 727 morts parmi les civils est attribuables à des forces républicaines, avec 1 452 aux troupes de Laurent Gbagbo. de alassane propre Et plusieurs anciens partisans de Gbagbo ont été emprisonnés. Personne du côté de Alassane n’a encore été arrêté, malgré leur implication dans la tragédie ivoirienne, sous la direction de Guillaume Soro, le leader des Forces nouvelles ivoirien qui a dirigé la rébellion contre Laurent Gbagbo en 2002 qui est devenu la première guerre civile ivoirienne.

Cette justice partielle en Côte d’Ivoire a créé un climat de colère et de vengeance, où la tension reste élevée. Un sentiment d’impunité pour ceux qui sont impliqués dans la violence politique est plus répandu parmi le peuple ivoirien. La poste violence électorale en 2000, le coup d’état de 2002-2003 et l' attaque sur le camp de déplacés à Duékoué sont des événements pour que la justice a encore à purger, révélant l’état d’impunité qui existe actuellement.

Alassane, avec son silence vis-àvis vers plusieurs cas clairs de violations flagrantes des droits de l’homme, marche dans la même voie que l’homme qu'il a remplacé, l’ancien Président Laurent Gbagbo.

Ancien chef enquêteur de l’ONU en Sierra Leone, Alan White, a déclaré que « tout le monde connaît, non seulement en Côte d’Ivoire, mais aussi dans la région de Union River Manor, que [le Président du Parlement] Guillaume Soro est certainement responsable directement ; Il a aidé et encouragé les atrocités qui ont été commises depuis 2002 jusqu'à l’année dernière. »

Le besoin d’inclusion

Je voudrais dire qu’au-delà de la Région de l’Union River Manor, l’ONU sait aussi que le mouvement rebelle ivoirien a commis des crimes extrêmement graves de 2002 jusqu'à la période électorale après 2010. Et de nombreux dirigeants politiques, y compris les partisans de Gbagbo, sont censés être souffrant de torture en prison à travers le pays.

Et c’est peu susceptible de changer, alors que les combattants de Ouattara supportant dominent l’administration ivoirienne. De nombreux dirigeants de l’ex-rébellion ont été récompensés avec des postes de niveau élevés dans l’administration publique.

Gouvernance patrimoniale a renforcé le régime de M. Ouattara. Postes de haut niveau sont presque entièrement détenues par sa famille et les membres de son clan ethnique. Cette domination pourrait détruire la stabilité et la cohésion sociale du pays.

Pendant ce temps, les partenaires stratégiques de la Côte d’Ivoire, principalement la France et l’Union européenne, sont taire sur la situation.

Il est temps de prendre la parole et dire que la politique de justice partielle consolidera pas paix et la réconciliation dans le pays. Il peut y avoir de réconciliation sans justice. Paix de gagnant, violence enrichissante avec emplois et ne pas enquêter sur les droits de l’homme va seulement approfondir les clivages dans la société ivoirienne. Le projet de consolidation de la paix en Côte d’Ivoire est un long chemin de fini. Toutes les parties à besoin d’être pris en compte - et toutes les parties doivent se pencher sur leur passé - si elle va s’achever.