[Légende id = « attachment_51573 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Scenes from a UN-run Protection on Civilians site in near Juba, South Sudan. Image credit: UN Photo Des scènes d’une Protection devenu civils du site proche Juba, Sud-Soudan. Crédit image : Photo ONU/ [caption]

Le groupe d’opposition dirigé par ancien Vice Président, m. Riek Machar, est allé à la guerre civile contre le gouvernement soudanais du Sud le 15 décembre 2013, peu de temps après que les débats politiques internes visant à réformer le système de gouvernance dans le pays. La guerre civile a depuis revendiqués milliers de vies, forçant les citoyens de fuir le pays à ses voisins immédiats, l’Ouganda, au Kenya et en Éthiopie. Le processus de médiation visant à mettre fin à la crise sous la direction de l' Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD) depuis janvier 2014.

Au début des pourparlers de paix - qui s’est tenue dans la capitale éthiopienne Addis-Abeba - seulement trois pays de l’IGAD ont participé à la médiation, avec le soutien de la communauté internationale, agissant comme observateurs. Suite à l’effondrement de la paix parle en mars 2015, processus de l’IGAD a été élargie pour inclure une coalition comprenant les USA, UK, Norvège, Italie, l’Union européenne, la Commission de l’Union africaine, l’ONU et le Comité de haut niveau Union africaine, y compris le Nigeria, l’Afrique du Sud, Rwanda, Tchad et l’Algérie. Les pourparlers impliqué aussi fondamentalement intervenants soudanais du Sud, composée de dirigeants communautaires, des représentants de la société civile, dirigeantes, partis politiques et des dirigeants politiques du mouvement de libération du peuple soudanais.

L’accord de paix a été signé par les deux parties les 17 et 26 août 2015 à Addis-Abeba, Éthiopie et Juba, Sud-Soudan, respectivement. Célébrations ont été vus à travers le pays, comme les deux parties belligérantes ont exercé leurs efforts pour mettre fin aux souffrances des citoyens les plus jeune nation du monde.

L’accord signé par les parties en conflit au prix du Sud-Soudan des pourcentages différents à chacune des parties, sur l’accord de partage du pouvoir, le gouvernement aura 53 % au niveau national, tandis que le groupe d’opposition sous la direction de Marchar obtiendra de 33 %, que le solde de 14 % iront à des partis politiques et les anciens détenus politiques.

Cependant, malgré la célébration publique et optimisme indicative des observateurs internationaux, l’accord de paix est extrêmement fragile, jetant le doute sur les perspectives de la sécurité à long terme et la stabilité dans ce pays en crise. Les arrangements de sécurité mis en service dans l’accord pour la période immédiate après signature a exigé que les forces gouvernementales et opposition redéployer en dehors d’un rayon de 25km autour de Juba. Un troublant facteur à considérer est que pendant la période transitoire, du Sud-Soudan sera effectivement avoir deux armées, avec le président Kiir à la tête de l’armée du Sud-Soudan et rebel leader Machar retenue contrôle de ses forces jusqu'à ce que les deux sont unifiés. Alors que les deux armées restent sous commandement distinct, le cessez-le-feu restera probablement compromis.

Moins d’un mois s’est écoulé depuis la signature de l’accord de paix et les forces des parties belligérantes ont déjà violé le cessez-le-feu; échanger des affrontements au cours des dernières semaines.

Malgré la violence qui a entaché le cessez-le-feu et menace la fragile paix au Sud-Soudan, le gouvernement semble être sérieux sur l’application des dispositions de l’accord. Le cabinet exécutif a constitué un Comité dédié entièrement à la vérification de la mise en oeuvre de l’accord de paix, alors que la décision du président Kiir à signer l’accord a été saluée comme un acte mémorable de diplomatie et de compromis par les observateurs publics et internationaux.

Autonomisation des communautés pour les progrès de l’Organisation Directeur général M. Edmund Yakani dit la mise en oeuvre de l’accord de paix est cruciale pour les citoyens de construire la confiance dans les dirigeants politiques et pour les perspectives de paix dans l’avenir pour le Sud-Soudan : « il est temps pour les belligérants d’exécuter l’accord de paix au sérieux sans défaillance. Les parties à l’accord doivent démontrer l’engagement pour la mise en œuvre efficace et opportune de l’accord de paix. La culture de signer l’accord de paix aujourd'hui et avoir déshonoré le lendemain ne devrait pas être répétée dans cet accord de paix conclu entre les parties belligérantes ».

Il est impératif que l’accord de paix au Sud-Soudan ne manquera pas. Le pays a été indépendant du Soudan depuis quatre ans maintenant, et dans ce temps a souffert de la guerre civile, une crise des réfugiés en cours et la famine. L’effort nécessaire pour amener les deux parties à la table des négociations après 20 mois de guerre civile n’est pas en vain.