Un « haut niveau politique mécanisme » (HLPM) a été formé au Népal, chargé avec le déplacement vers l’avant, le pays de l’impasse politique dans le processus de paix et de la rédaction d’une nouvelle constitution. Le HLPM est sous la coordination du Président du Congrès népalais, Girija Prasad Koirala, et les deux autres membres sont Prachad, le Président de la United parti communiste du Népal – UCPN (maoïste) et Jhalanath Khanal, Président du parti communiste népalais-Uni marxiste léniniste (CPN-UML). Premier ministre Madhav Kumar Nepal est le membre invité dans le mécanisme. La première réunion de la HLPM qui s’est tenue le 19 janvier, qui a constitué un groupe de travail de six membres pour préparer ses termes de référence (TOR) et la procédure de travail dans les trois jours.

Le HLPM peut être considérée comme signe positif du dialogue entre les trois plus grands partis politiques, l’UCPN (maoïste), le Congrès népalais (NC) et le CPN-UML. Le plus grand parti de l’Assemblée constituante UCPN (maoïste) est dans l’opposition et a été le lancement protestations pour la suprématie civile depuis huit mois après la démission du gouvernement. En effet, il n’est pas dans toutes les structures gouvernementales et le mécanisme du processus de paix. Le HLPM peut être vu comme un moyen d’engager l’UCPN (maoïste) dans une sorte de mécanisme de paix.

Toutefois, l’HLPM a déjà attiré des critiques avant même d’avoir commencé fonctionnement. Le HLPM n’a pas de représentation de tous les partis politiques à l’Assemblée constituante (CA), et un point particulièrement sensible est qu’il ne contient pas de représentation des partis politiques axée sur le mignon - même si un des partis politiques axées sur la Medhesh est le quatrième parti à la CA.

Le HLPM a également être remise en question sur le statut juridique de ses fonctions. Partir d’une variété d’angles personnes ont critiqué la décision de former le HLPM, étant donné qu’il n’y a déjà une Constitution intérimaire, le CA et le Parlement. Son état n’est également pas clair ; le HLPM est au-dessus de l’autorité de certification et le Parlement ?

Ces questions seront sûrement une réponse dans les prochaines semaines. Si le HLPM réussit à mettre fin à l’impasse actuelle du processus de paix et de la rédaction de la nouvelle constitution, alors il aura été une lueur d’espoir pour la population népalaise.

Posté par Ambika Pokhrel, correspondante locale pour le Népal, 21 janvier 2010