[Légende id = « attachment_27104 » align = « aligncenter » width = « 580 »] Fille A somaliens déplacée par les boissons de la sécheresse des troupes eau potable distribuée par l’AMISOM. (© DfID) / [caption]

Ces dernières années, humanitaires ont été tournés vers le rétrécissement perçue de l’espace humanitaire — la capacité des acteurs humanitaires à fournir une assistance aux populations touchées par les conflits et les crises deviennent plus en plus limité. Le récit de l’espace humanitaire est associé à un autre récit, celui de la politique humanitaire — comment l’action humanitaire a directement ou indirectement touchés des structures politiques ou été politisée par manipulation délibérée à des fins politiques (p. ex. les programmes de stabilisation et de la lutte contre le terrorisme).

Somalie et centre de la Somalie du Sud en particulier, a fréquemment été utilisé comme un exemple d’espace comment humanitaire est devenue un « produit alarmistes » ainsi. Un particulier « une dimension importante de l’espace humanitaire en Somalie a été comment une aide d’urgence et de développement a été très étroitement intégrée dans l’économie politique du pays » qui entrelace « transactions commerciales légales et illégales, détournement, fiscalité, etc. et la dynamique du pouvoir qui régissent ces activités ». Ceci est accompagné d’autres modèles de la politique humanitaire, comme la légitimité qui peut être attribuée à des acteurs non étatiques à la suite de l’engagement avec les acteurs humanitaires.

L’héritage de la politique humanitaire en Somalie fait partie de la narration de l’impact de l’aide humanitaire en Somalie, les réflexions qui ont informé des discussions sur comment secours assistance peut nuire au peuple, il cherche à aider. On a fait valoir qu’alors que les agences humanitaires visent à être neutre et impartial dans leurs opérations, « l’impact de leur aide n’est pas neutre quant à savoir si le conflit s’aggrave ou s’estompera. Lorsqu’il est administré en post-conflit, aide peut renforcer, aggraver et prolonger le conflit » aux côtés de ses bienfaits.

L’impact « nocif » de l’aide humanitaire en Somalie dans les années 1990 a été un exemple flagrant dans ces discussions de comment aide peut alimenter le conflit. Par exemple, on a fait valoir que, dans les années 1990 « chefs de faction utilisés financement provenant de sources internationales (y compris les organisations humanitaires) pour légitimer leurs prétentions au pouvoir et leur qualité de seigneurs de la guerre ». En outre, bien qu’aide humanitaire fait partie d’une économie de guerre plus large à de nombreux conflits en Somalie, il a été particulièrement « importante ».

Évaluation de l’impact de l’aide

Les réflexions sur l’impact et le rôle de l’action humanitaire dans les environnements touchés par un conflit dans les années 1990 a conduit à l’introduction de normes éthiques et techniques dans l’aide humanitaire (par exemple The Sphere Project) ainsi que des cadres d’orientation sur la limitation de « préjudice » (p. ex. Do No nuire-cadre). Toutefois dans la dernière décennie, tout en questionnant l’impact de l’aide humanitaire « a déménagé à suivre l’agenda humanitaire » et devenir un « rubrique répandue dans le discours d’évaluation humanitaire aujourd'hui », en Somalie, ce sujet est allé tranquille et presque disparue du discours public. Alors qu’il y avait une vague d’attention sur un rapport du groupe de surveillance des Nations Unies 2010 sur la relation entre entrepreneurs du Programme alimentaire mondial et des groupes armés et donneur accru des discussions sur la reddition de comptes, c’est retombé depuis et on connaît réellement l’impact et les conséquences inattendues de l’aide humanitaire en Somalie.

Par exemple, une récente évaluation de la réponse humanitaire en Somalie centrale du sud de 2005 à 2010 — décrite par le coordonnateur des affaires humanitaires en Somalie comme "une des évaluations plus complètes de l’aide en Somalie jamais réalisée» — a été en grande partie Impossible d’aborder la question de l’impact ou de faire des « hypothèses soutenues sur [le] impact potentiel de l’aide humanitaire ». Une autre évaluation interinstitutions spécifiquement chargé d’évaluer la « crise de la sécheresse » en 2011 a conclu, « l’étendue de la mise en œuvre effective est encore incertain, comme l’impact de la réponse sur l’ensemble de la situation ».

Mesurer l’impact est une tâche redoutable comme il a pour but de tenir compte des effets sociaux, économiques, environnementaux et techniques d’interventions humanitaires « sur les individus, les groupes de sexe et d’âge, les communautés et les institutions. Les impacts peuvent être prévue et imprévue, positive et négative, macro (secteur) et micro (ménage) ». Ces analyses ne sont aucun effort simple, encore deux facteurs associés à la mesure de ces changements à long terme sont les extrants et les résultats. Sorties se référer aux activités spécifiques et services réalisé par et/ou biens fournis par une agence humanitaire et l’intervention tout en résultat font référence à la « probable ou atteint à court et à moyen terme effet des sorties d’une intervention ». Cependant, comme l' évaluation 2011 « crise sécheresse » a observé, il y a eu une mise au point par les agences sur les « sorties plutôt que de résultats » qui peuvent « signifie que [les] effets plus généraux des interventions d’aide (positives et négatives) ne sont pas correctement comptabilisés dans les mécanismes de rétroaction ». En plus de cela, connaissance des produits a également été limitée, pour l’évaluation a conclu, « reddition de comptes pour les sorties est actuellement faible et d’urgence doit être renforcée ».

Par ailleurs, l’enquête de 2012 rapport du groupe de surveillance des Nations Unies sur le détournement et l’appropriation de l’aide humanitaire fait observer que, si la Somalie présente de graves difficultés opérationnelles pour les organisations humanitaires afin de vérifier si l’aide a été effectivement assurée et si les bénéficiaires ont été effectivement réels, « [r] rapports de moniteurs de tiers engagés par certains organismes d’aide... présenter une évaluation mixte, confirmant que le détournement était en effet un problème grave mais que dans certains cas l’aide les organismes et les bailleurs de fonds a choisi d’ignorer ou d’enterrer des rapports à cet effet. » Dans le cas où le détournement est confirmé, l' impact de cette est largement au-delà de la portée de l’enquête.

Il n’est pas l’intention ici de suggérer que l’aide est les conflits dans la mesure où comme dans les années 1990, ou si elle alimente les conflits et l’instabilité du tout, et évaluations ont observé que l’aide humanitaire a directement et indirectement contribué à sauver des vies. Cependant, avec l’actuel des limites de surveillance et de la réflexion (ou disinclinations) des organisations humanitaires, l’impact des conséquences inattendues de l’aide est devenu un inconnu. Cela nous amène à son tour — comment les organismes de secours s’assurer qu’ils ont appris les leçons du passé ? Comment peuvent-ils être sûrs de leur rôle dans la dynamique sociale, économique et politique du conflit ? Avec l’héritage de la Somalie de la politique humanitaire et un environnement d’exploitation dans lequel certains organismes ont « compromis et subjugué [principes humanitaires] pour but de maintenir les accès d’exploitation, une plus grande » ne devrait pas la discussion de l’espace humanitaire en Somalie ouverte jusqu'à l’examen critique supérieur ? Faudrait pas l’espace pour la question essentielle de l’impact d’assistance humanitaire ?