Il existe de nombreux lieux de conflits historiques dans le monde où il est clairement nécessaire pour aider les personnes concernées à trouver un terrain d’entente.

L’actualité dans le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, où des soulèvements populaires sont renversant, ou au moins essayer de renverser, régimes de longue date, est les bienvenus. Encore il n’y a aucune garantie qu’un glissement continu vers la démocratie suivra inexorablement. Malheureusement, il y a un risque réel que les nouveaux conflits intercommunautaires seront posera dans ces domaines dans les mois et années à venir.

[Légende id = « attachment_13749 » align = « aligncenter » width = « 500 » caption = « L’Image prise par Lochinvar1, publié sous licence creative commons »] [/ caption]

Mon expérience en tant que ministre impliqué dans le processus de paix avec succès en Irlande du Nord m’a conduit à deux conclusions. Tout d’abord, il n’y a pas d’approche « passe-partout » pour quelles sont, en effet, des problèmes difficiles, basées sur la méfiance de longue date et des différences profondes, qui peuvent reposer sur la rivalité ethnique et territoriale (par exemple, Chypre), les divisions religieuses (par exemple l’Irlande du Nord) ou des aspirations nationales (par exemple la région Basque).

Deuxièmement, ceux qui s’efforcent de parvenir à la paix et la réconciliation doivent être en mesure d’identifier les conditions préalables nécessaires dans chaque cas qui permettrait de dialogue commencer, ainsi que les principes sur lequel la paix processus peuvent être développés.

Sans conditions préalables, pas dans de nombreux cas on assez constant pour permettre des progrès à faire en cours.

C’est essentiel, il doit exister une reconnaissance claire des deux côtés du conflit que le statu quo n’est pas une option défendable. Cela se produit généralement, comme en Irlande du Nord, lorsque les communautés respectives et les combattants ont atteint un point où la perspective de la poursuite du conflit est trop pénible et épuisant à contempler.
Un moyen important d’identifier ce que conditions préalables doivent être remplies sur les deux côtés, est de mettre en place arrière-canaux de manière informelle mais avec autorité définition précise les obstacles au progrès immédiat. C’était extrêmement important en Irlande du Nord pour John Major et Tony Blair. Bien sûr, condition la plus importante a été celle d’un cessez-le-feu.

Il est important d’établir dès que possible, certains principes communs. Le premier et le plus important sont la parité d’estime. C’est à dire que chaque côté est de reconnaître que leurs adversaires ont un intérêt légitime et un statut égal dans le processus.

Deuxièmement, il y a une place importante pour les mesures de confiance. Ceux-ci peuvent s’avérer barrières très difficiles à bien des égards. En Irlande du Nord pour la communauté unioniste, il importait tout naturellement que l’IRA s’engagent dans un processus de démantèlement de leurs armes. Cependant, pour les républicains, cela s’avère très difficile de livrer, car il pourrait facilement être considéré comme un symbole de la défaite et, en conséquence, pourrait être interprété comme affichage de manque de respect à ceux qui avaient été engagés dans le conflit armé précédent.

En fin de compte, la clé pour débloquer le chemin de la paix en Irlande du Nord, sous la forme de l’accord du vendredi Saint, a été de trouver un règlement politique qui permettrait aux deux parties pour conserver certains la dignité et l’identité politique distincte.
Les institutions décentralisées en Irlande du Nord, qui a réussi – juste – à tous les grands axes de l’identité politique amener une entente étaient au coeur du processus. C’était ambiguë de manière constructive, situation que TI gauche nationalistes et républicains l’espace d’accepter un règlement de toute unification avec la République d’Irlande, sur la base qu’ils étaient en mesure de conserver l’aspiration comme réalisable, mais seulement avec le consentement public.

De même, pour les unionistes et loyalistes, Irlande du Nord demeure au sein du Royaume-Uni, sans le traumatisme en cours du terrorisme violent.

Autres aspects du processus étaient à la fois pénible à contempler pour certaines sections de la communauté et, en même temps, a soulevé des points d’interrogation avec des gens sensés sur la primauté du droit et l’indépendance de la justice pénale. La manifestation la plus évidente est le régime de libération de prisonnier, qui, dans certains cas, conduit à la libération sous licence des terroristes qui avaient été condamnés à de terribles atrocités. Bien que je dirais que c’était nécessaire, en ce qui concerne le plus grand bien, il s’agissait d’un système avec lequel très peu de gens senti à l’aise, moi y compris.

[Légende id = « attachment_14013 » align = « aligncenter » width = « 500 » caption = « Image par rdiggle, publié sous un contrat Creative Commons »] [/ caption]

Un dernier point, tangent au processus de paix en Irlande du Nord, mais qui me paraît important dans de telles circonstances, est celui de l’identité personnelle.

Être un terroriste – ayant des buts et des valeurs en dehors du courant principal de la société et l’Etat et être prêt à utiliser extrême violence et criminalité, des pour poursuivre – confère une identité distinctive, un but dans la vie et un lien plus large de solidarité avec les compagnons d’armes. L’appareil paramilitaire et éthique qui n’est pas une coïncidence ; elle sert à favoriser un sentiment d’être une discipline, interdépendants, force de combat.

À bien des égards, la persistance de groupes dissidents comme l’IRA « Réel », servir d’illustration de ce phénomène. Bien que les conformistes, dans le sens de ne pas acheter dans le processus de paix, ils fournissent aussi un habitat pour ceux qui ne peuvent pas ajuster psychologiquement de ce statut d’outsider à faire partie d’un règlement politique fondé sur l’ambiguïté constructive. Des situations similaires se poseront sans doute dans d’autres processus de paix.

La chose importante à garder à l’esprit est qu’il n’y a aucun plan unique. Cependant, avec les mieux possibles et réalisables conditions préalables (je l’espère aussi peu que possible) et les principes de droit – difficile si elles peuvent sembler à l’époque-il est possible de parvenir à une paix durable.