Le 17 mars Sri Lanka se tenir des élections dans les conseils provinciaux 235. Malgré la fin de la guerre civile et l’annonciatrice d’une ère Pacifique privilégiant le développement et la promotion du tourisme par le biais de politiques gouvernementales, les temps ne sont pas pacifiques. Les violences post-électorales, comme il arrive dans presque toutes les élections, se déroule en ce moment sans exception.

L’utilisation sur la police et les forces armées afin d’assurer une atmosphère paisible a augmenté. Les forces doivent être placées à 25 mètres de chaque bureau de vote, ajoutant à la sécurité fournie par la police. Une équipe spéciale doit être placé dans chaque station de comptage. Cinq cents points de contrôle et barrages routiers sont établies partout dans le pays, pour dissuader et prévenir des actions violentes et le transport des armes à feu illégales. Toutes ces préparations sont pour le jour de l’élection, afin d’assurer une élection « libre et équitable ».

[Légende id = « attachment_12478 » align = « aligncenter » width = « 500 » caption = « Image de Yim Hafiz, publié sous licence creative commons »] [/ caption]

Mais les violences liées aux élections ne sont pas absent. Les deux élections non gouvernementale impartiale organes de surveillance au Sri Lanka, peuple lutte pour libre et élections équitables (PAFFREL) et la campagne pour des élections équitables (CaFFE) libres et, travaillent dur pour mobiliser des équipes et plaidoyer afin de minimiser les violences post-électorales de surveillance des élections impartiales. PAFFREL a mobilisé plus de 10.000 personnes pour surveillance de sondage à des fins dans 23 districts administratifs et CaFFE possède déjà une base de données de 406 incidents violents liés aux élections qui se tiendra du 27 janvier au 15 mars. Il s’agit de deux meurtres, un attentat à la bombe, de tir et des enlèvements, qui laissent entrevoir les tensions sous l’élection.

Réfugiés de la guerre à Puttalam Vavuniya sont équipés d’installations de transport d’État se rendre dans leur circonscription pertinente de vote, alors que la campagne menée par certains partis politiques ne pas alignées avec le gouvernement actuel est entravée par l’intervention de la police. Ainsi, la politique de l’Etat semble jouer un double rôle qui favorise uniquement ce qui est solidaire du régime en place.

Tant qu’individus et la société civile, nous assistons à des tendances alarmantes dans ces événements. La violence se poursuit, la présence des forces armées est très répandue et intérêt populaire vers vote indique une diminution abrupte.

Ce manque d’intérêt du public pour le droit de vote est la plus alarmante. Il n’est pas simplement en raison des difficultés ou les tracas du vote. Il indique un manque de confiance dans les dirigeants, du point de vue des électeurs. Il dénote le manque de confiance dans la démocratie, les politiques et procédures de notre pays. Il indique aussi qu'une indifférence à ce qui se passe ? Ou une démission abjecte et un sentiment d’impuissance ?

Comme la société civile, c’est ce que nous demandons pour le moment. Est-ce la tension sous-jacente que nous ressentons tous à l’heure actuelle ? C’est comment nous voulons vivre et continuer à vivre ?