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L’eau est de loin la plus précieuse ressource disponible pour les humains.  Notre existence et subsistance comme une espèce est directement subordonnée à la disponibilité suffisante et l’accessibilité à l’eau.  C’est l’impératif biologique incontestable qui régit notre capacité même dessiner souffle, il est à noter que cette perception n’a pas toujours été la variable déterminante en matière de guerre et de paix.  Cet article, qui en tire un projet plus vaste de questions de recherche, est le résultat d’une période de réfléchir, où l’importance des conflits de l’eau se pose comme un thème d’exploration.  Plus précisément, préoccupations relatives à la pertinence des conflits sur l’eau et la place qu’ils détiennent dans les sphères de la stratégie de résolution des conflits seront étudiées.

Il est sûr de dire que la sagesse traditionnelle sur les stratégies de résolution de conflits a généralement été informée par les dimensions économiques, sociales et politiques des Royaumes combattants fondations des groupes de la guerre.  Lorsque ces variables pousser les belligérants à prendre les armes, il est essentiel d’examiner les autres moyens de redistribution des ressources.  Aux fins du présent article, redistribution de ressources est considérée comme une stratégie initiée et animée par des tierces parties pour permettre à des groupes belligérants d’avoir un accès accru aux ressources étant contesté.  Le but ultime de la redistribution de ressources est de créer un environnement où les belligérants peuvent considérer leur nouvelle allocation des ressources comme étant assez favorable pour cesser les hostilités.  Les possibilités de parvenir à une paix durable sont encore améliorées lorsque le tiers offrent des incitatifs comme un moyen d’influencer l’orientation des négociations.

Dans les conditions susmentionnées, stratégie de résolution des conflits visant à contrecarrer l’économiquement, socialement ou politiquement conduit la violence suppose que la redistribution de ressources est réalisable tant que les groupes belligérants sont amenés à croire que cette redistribution est bénéfique pour leurs membres.  Il suppose également que les ressources étant contestés existent en nombre suffisant.  Redistribution, sous cet état d’esprit, devient un exercice à concéder des ressources déjà existantes.

Alors que la redistribution de ressources est une stratégie qui semble bien fonctionner, il n’est pas qualifié pour résoudre les conflits sur les ressources dont la disponibilité et l’accessibilité sont de plus en plus rares, tels que l’eau.  Dans leur étude sur la disponibilité de l’eau, et al. Gleditsch. observé que la disponibilité par habitant mondiale de l’eau diminue d’un m³ annuel de 40 000 en 1800 à 6 840 m³ en 1995.  Cette opinion est soutenue par Gerten et al., qui a estimé que la disponibilité de l’eau sera sévèrement réduite dans plusieurs régions du monde, au point que la réduction de la faim des stratégies ne seront pas suffisants pour répondre à l’augmentation de la population de la planète.  Face à une ressource rapidement destructrices, les individus qui auraient autrement été acteurs pacifiques considéreront l’accès à l’eau comme un exercice de survie de somme nulle et ne peuvent pas être aussi facilement convaincus de croire qu’une redistribution négociée des ressources serait bénéfique.

Si l’allocation des ressources dans une négociation de paix est tributaire de leur existence, un régime de redistribution à long terme dans une situation de conflit d’eau inévitablement échoue, à moins que les décideurs s’attaquent aux causes de fond pour la rareté des ressources.  Cela, dans de nombreux cas, est un objectif qui nécessite la coopération d’un certain nombre de différents acteurs les, nationaux et internationaux, ce qui peut poser des défis en termes d’alignement des intérêts et du consensus.  Néanmoins, en mettant l’accent sur la question de fond de la rareté des ressources, on suit la croyance qu’une ressource ne peut être contesté et éventuellement redistribué s’il existe en fait dans des volumes suffisants.  Pour supposer que la résolution des conflits conventionnels mécanismes vont fonctionner face à une ressource qui appauvrissent défie non seulement les réalités des sociétés à l’échelle mondiale, il est contraire au bon sens.

Gardant à l’esprit le sinistre indéniablement statu quo (et futurs) de disponibilité de l’eau dans le monde, il est essentiel pour les décideurs à repenser la stratégie de résolution des conflits.  On peut ne considèrent plus que guerre au-dessus de l’eau comme nouvelle ou comme étant quelque chose qui portera uniquement sur les générations futures.  Conflits de l’eau sont déjà en cours, et leur fréquence seulement continue d’augmenter avec des effets dévastateurs dans nos sociétés.  Selon les données de l’Institut du Pacifique, instances de guerre hydrologique a augmenté de neuf cas dans les années 1970 à 78 dans les années 2010, ce qui témoigne de la façon dont souvent l’accès à l’eau a déclenché la violence, et comment cette tendance ne semble pas fléchir.

Compte tenu de la diminution constante des ressources en eau et la montée de la violence hydrologique, comment redistribution de ressources peuvent-ils favorablement pour l’application de la paix ?  Par ailleurs, comment les décideurs peuvent rester actives et pertinentes des parties dans les cadres de résolution de conflits au milieu des hostilités à base d’eau ?  Ceux-ci sont en appuyant sur les questions qui méritent une place primordiale dans les cercles de résolution de conflit, et dont les réponses détermineront l’état du monde dans les années à venir.