Dans chaque contexte de conflit ou d’après-conflit, il y a ceux qui, malgré toutes sortes de difficultés, ont du mal à rétablir le dialogue, confiance, harmonie et la paix d’une vie meilleure pour tous les goûts. Ces gens sont pour la plupart inconnus - ils apparaissent rarement dans les médias et la lutte pour obtenir des fonds pour appuyer leur travail, alors même que des initiatives de consolidation de la paix locaux sont plus reconnues pour leur impact positif.

Directs de paix, une organisation caritative britannique s’efforce de soutenir et de stimuler le travail des bâtisseurs de paix local. Cette semaine, l’organisation a rassemblé 20 ces bâtisseurs de la paix de différents pays et de milieux en passerelle de Lukenya, près de Nairobi (Kenya) pour une réunion de trois jours pour partager les connaissances et les expériences de leur travaux sur le terrain. Peacebuilders locale a eu l’occasion de partager avec leurs pairs, leurs travaux, les défis qu’ils relèvent, l’espoir qui les rendent engagés à ce qu’ils font et leurs plans pour l’avenir. Lors de cette réunion, quatre axes de travail ont vu le jour pour être commune à la plupart des participants : autonomisation des jeunes et des femmes ; développement du leadership local ; éducation à la paix ; et le processus de DDR (désarmement, démobilisation et réinsertion).

Les participants ont également analysé le travail des ONG internationales dans la consolidation de la paix et les relations qu’ils ont établi avec eux. Ils sont convenus sur le fait qu’il est important de redéfinir le partenariat avec ces organisations afin de donner plus de puissance, de capacité et de voix aux bâtisseurs de la paix locaux.

En tant que membre du Club de jeunes Amahoro, une organisation de jeunesse activement à la consolidation de la paix et le développement durable au Burundi, je me suis senti très soulevé par cette rencontre. Tout d’abord, pour être invité à partager l’expérience de AYC est un signe que notre travail, qui, pour certaines personnes, peut sembler à petite échelle, est reconnu et apprécié. Deuxièmement, il a été très utile et source d’inspiration pour répondre aux bâtisseurs de la paix locaux impliqués dans des programmes similaires comme la nôtre ; à savoir, autonomisation et paix éducation des jeunes. Pour AYC, responsable des échanges et la collaboration avec des organisations comme trêve 2020 à Londres et Envision au Zimbabwe et en étant connecté à ces personnes sont fondamentale et moral nous assure soutiennent, partage d’expériences et de connaissances et l’amélioration de la qualité de notre travail.

Même s’il peut sembler parfois que notre travail est trop peu au milieu de toutes sortes de difficultés, de malentendus et de tragédies, le toucher des histoires que nous avons entendu de Sri Lanka, Soudan, England, Yémen, Timor oriental, Cachemire, RD Congo, au Pakistan et au Zimbabwe a prouvé que nous sommes lentement mais sûrement avoir un impact au niveau local et c’est l’addition de la « petite » travail ici et là qui peuvent faire la différence et apporter une paix durable dans le monde.

Février 2010